Un opus 2 au moins aussi bon que son prédécesseur
Bien souvent les suites ne sont pas toujours aussi concluantes que les premiers films. Mais dans le cas d'Il était une fois en Chine on a la naissance d'une vraie saga, avec des films du même niveau d'intérêt et de qualité. Le personnage de Wong Fei-Hung a d'ailleurs fait l'objet d'une bonne centaine de films.
Dans ce second opus, on retrouve des personnages du premier film et ce qui me plait toujours, c'est le coté historique qui sert de décor et de support au scénario. Dans La secte du lotus blanc cet aspect et d'ailleurs un peu mieux traité que dans le premier film. Par contre ce qui me manque un peu c'est la dimension culturelle...
Coté combat, c'est du grand art autant dans le domaine physique que sur le plan de la chorégraphie et sur la diversité des techniques et des armes utilisées. Autant dire qu'un spécialiste du niveau de Jet Li est indispensable à la réussite d'une telle production. Et bien sûr le tout est tourné avec un certain humour qui transmet de la bonne humeur et un certain plaisir au spectateur.
Il y aurait encore à dire...
... mais il est un peu tard pour s'y mettre. La note suffira.
Pas mal mais déçu quand même, voir très déçu.
il faut attendre une bonne heure avant un vrai combat, il n'y en a que 3 en tout qui soient dignes de ce nom dont le plus long se trouve au final (excellent du reste). Mais un petit quart d'heure sur 1h40, c'est peu, surtout que l'histoire m'a pas mal laissé de marbre comparée à l'énergie déployée dans le premier.
Un cran en dessous du premier opus, mais encore un grand film de Tsui Hark, entre kung-fu et histoire
Deuxième opus de la série, La Secte du Lotus Blanc est une nouvelle réussite dans le renouvellement d'un genre moribond à l'époque. Il garde la même structure, c'est à dire pas seulement des combats mais un vrai fond historico-culturel, des moyens impressionnants, plusieurs groupes de personnages, et bien sûr des combats de feu.
On retrouve avec joie Wong Fei-Hong et la treizième tante, mais on perd Yuen Biao pour le rôle de Fu. Il est remplacé par Max Mok qui apporte plus de comédie mais moins de kung-fu. Autour d'eux gravitent de nouveaux personnages puisque l'action s'est déplacée à Canton. On apprécie à nouveau les personnages en demi-teintes (comme celui de Donnie Yen), qui viennent compléter les vrais méchants (la secte ici). Fei-Hong est toujours autant à cheval entre deux cultures et un peu naïf. Bref, on garde le même panel de personnages assez intéressants.
L'intrigue est moins bonne que dans le premier film. La faute à un déséquilibre entre action / non-action, celle-ci étant trop repoussée à la fin du film. Cela permet certes de finir en trombe, mais le premier film était mieux équilibré à ce sujet. On regrette aussi les coupes concernant le fameux "registre" qui débarque dans le film sans explication. C'est un peu dommageable. Cela reste tout de même au-dessus des standards des films martiaux.
Concernant les combats, on peut affirmer sans trop de problème qu'ils sont aussi bons sinon meilleurs que ceux du premier film. Donnie Yen face à Jet Li, c'est un des summums du kung-fu tous films confondus. Surtout le deuxième affrontement avec les bâtons. On hallucine tout simplement. Quant au combat sur les tables, il redéfinit à nouveau les limites de la physique. Et tout ça dans la dernière partie du film.
La réalisation de Tsui Hark est un peu moins inspiré que dans le précédent opus, mais c'est toujours aussi impressionnant. Il utilise à merveille la très bonne musique de James Wong et le reste de la production suit. Bref, c'est du top niveau.
Vous l'aurez compris, cet opus est peut-être un tout petit peu moins bon, mais il reste un film de choix, mélangeant kung-fu et histoire avec la même classe que son grand frère.
On prend les mêmes et on recommence : résultats gagnants
Il
s'agit de la suite de Once Upon A time in China, et quelle suite, nous
retrouvons avec bonheur Tante Yi, Wong Fei-Hong et son disciple pour un périple
dans Canton où sévit une secte pronant la lutte armée contre
les étrangers. Leur voyage se complique lors que complots, lutte d'influence
et administrateurs vereux s'y trouvent mélés.
Le scénario est original, quoi que suivant la ligne éditée
par le premier, il nous réserve quelques surprises, notamment en ce
qui les relatons plus qu'ambigues entre Tante Yi et Fei Hong.
Les combat sont, comme dans le premier, excellents avec un Jet Li au mieux
de sa forme, servis par Tsui Hark très alerte avec sa caméra. Bref,
il s'agit de grand spectacle, mélant combats, humours et reflexions,
que du bon... Conclusion, vivement de la vision du trois, s'il est dans la
lignée des deux premiers.
Wong à l’assaut des nationalistes
Sans surprises, le second opus de cette longue série de 6 films reprend les rouages qui avait fait le succès du premier l’année précédente. Tsui Hark, on le sait, aime mélanger les genres et les thèmes (The Lovers, le Festin Chinois), et il fait ici très fort en mixant assez habilement fresque historique, kung-fu spectaculaire, romance fleur bleue et affrontement Occident-Orient. Même si son film n’a ni la puissance de feu d’un The Tai-Chi Master ou d’un Fist of Legend, ni la dimension historique de La Guerre de l'opium, l’ensemble est tout de même vraiment divertissant ; les scènes d’affrontement qui défient les lois de l’apesanteur sont toutes très belles, malgré une utilisation des ralentis parfois excessive, et la reconstitution historique, tout comme la photo, donnent entière satisfaction.
Côté reproches, je dois dire que j’ai peu apprécié le petit jeu amoureux auquel se livrent Wong, Tante Yi et le disciple ; trop naïf, il devient vite pesant. J’ai également eu un doute concernant la symbolique du film : pourquoi Wong s’acharne-t-il à combattre une secte qui n’accepte pas que des étrangers viennent coloniser leur pays (l’après traité de Nankin qui cédait Hong-Kong à la Grande-Bretagne), geste certes violent mais compréhensible ? Si le même personnage était transposé en France sous l’occupation, ne serait-il pas traité de collabo ? A bien y réfléchir, je ne pense pas (heureusement :-) ). Wong ne fait que défendre la tolérance et la continuité des échanges culturels et économiques entre Chine et Europe, malgré la brutalité des Occidentaux. L’Histoire lui donne d’ailleurs raison : aujourd’hui, la Chine a récupéré pacifiquement HK et Macao, nul n’était donc besoin de faire couler tant de sang…
Pas grand chose à envier au premier opus...
On peut le dire d'entrée : Il était une fois en Chine 2 se place parmi les tous meilleurs films de kung-fu d'époque. Une suite très sympathique pourtant à mon humble avis inférieur au premier opus.
Si le scénario est incroyablement riche et touffu et donne un aperçu intéressant de la société Chinoise de la fin du XIXème, on en a pas moins un profond déséquilibre entre une intrigue qui folâtre en chemin et propose finalement peu d'action avant d'atteindre une dernière demi-heure toute en combats surréalistes et bondissant…
La linéarité de l'intrigue et le regroupement très marqué des combats sur la fin restent cependant de l'ergotage… Les combats valent peu ou prou ceux du premier opus, les acteurs tiennent leur personnage, en particulier Jet Li qui colle comme un gant à son perso un tantinet candide et froid. L'histoire est intéressante, que dire de plus sinon que ce film est à découvrir ?
tout bon
Quasiement aussi bon que le premier même si la dérive sentimentale se fait un peu sentir, et tout aussi indispensable. Comme dans le premier, un combat final d'anthologie. Le dernier grand OUATIC.
26 décembre 2002
par
jeffy
Yann n'est plus là mais il reste encore tellement d'histoires à raconter... un autre pays, une autre vision : il était une fois en Chine
Réalisé par Tsui Hark,
avec Jet Li dans le rôle Wong Fei-Hong,
suivant l'incroyable OUATIC: du très
prometteur. Le film traite des débuts des activités de Sun Yat Sen
en Chine, d'une secte de l'époque qui avait pour but de tuer les étrangers
et de l'amour progressant entre un homme et une femme (chabadada). Tout ça
fait déjà beaucoup, surtout en rajoutant les histoires de politique
interne, de médecine et des administratifs verreux... Mais justement
cette richesse est un vrai plaisir et nous change des habituelles histoires
de vengeance. Les combats sont superbes et originaux, l'histoire manque parfois
de rythme mais globalement, on reste scotché à l'écran.
Jet Li vs Donnie Yen
On retrouve les mêmes éléments que dans le premier mis a part Yuen biao remplacé ici par Max Mok. On n'y perd pas forcement au change puisque l'excellent Donnie Yen est venu se greffer au casting initial ! Les combats sont toujours aussi bons en particulier grâce au talent de Yuen Woo Ping qu'il n'est plus nécessaire de présenter !
Il était une fois la révolution
Non, La secte du Lotus blanc n'a aucun rapport avec le chef d'oeuvre de Sergio Leone. Du moins en creusant bien, on y découvre tout de même un trio prêt à tout pour sauver la Chine de la corruption et du chaos général, mission menée de main de maître par le légendaire Wong Fei-Hung, son acolyte Kuang et la rusée Shao Yun. Tsui Hark est de nouveau aux manettes et son style extraordinaire, quasi expérimental à chaque nouveau film étonne par sa singularité, sa beauté plastique et son ampleur jouant constamment avec la gravité et la physique. Il suffit de voir quelques séquences chorégraphiées par le géni Yuen Woo-Ping pour se rendre compte de l'énorme travail, notamment ce fabuleux combat au bâton entre Fei-Hung et son Excellence, absolument remarquable d'intensité et de virtuosité visuelle. La patte Tsui Hark assomme définitivement avec ses caméras grue qui soutiennent le chaos ambiant, filmant au ras et dans les airs, captant le moindre mouvement de chaque personnage. Un style rarement pris à défaut, soutenu par une quantité incroyable de zooms et dézooms, travellings latéraux suivant les combattants et marquant un arrêt lorsqu'ils font de même, ou bien enrichi de quelques passages en vue subjective apportant de surcroît une plus grande densité.
Pari audacieux mais néanmoins réussi, La secte du Lotus blanc est aussi un long métrage aux propos virulents mais toujours dans le ton, Tsui Hark prenant le temps de démystifier tous les codes des différentes religions (Kuang qui frappe ses ennemis avec la Croix du Christ, la croix prenant feux devant le "repère" des occidentaux, la statue de Bouddah qui empale son propre serviteur, etc...), l'ensemble aussi juxtaposé avec une dénonciation du nationalisme bidon où les milices chinoises veulent la mort de chaque occidental peuplant leur terre, le tout réhaussé par des références aux opéras chinois traditionnels. Un propos pourtant contrarié par Tsui Hark lui même -ici une nouvelle fois scénariste- puisqu'il ne se gêne pas de piétiner l'image de l'occidental conquérant en le réduisant en simple idiot (la séance des "réflexes" dans l'amphithéâtre, l'assaut de la milice du Lotus Blanc). A vrai dire, la balance est donc équilibrée et chacun y prend pour son grade. V'lan dans les dents.
Esthétique : 4.5/5 - Mise en scène exceptionnelle. OUATIC 2 est une mise en scène.
Musique : 4/5 - Le thème de la série, chanté par Jacky Chan est toujours aussi génial. Très bel accompagnement omniprésent.
Interprétation : 3/5 - Jet Li n'est pas un dieu du registre dramatique, mais quelle présence à l'écran! Différents jeux très comiques.
Scénario : 3/5 - Très classique mais sa dynamique ne faiblit jamais. Un gros spectacle.
Le meilleur film de Jet Lee
voili voilou
Une ambition narrative convaincante
Comme son prédécesseur, "OUATIC 2" ne ménage pas ses pairs sans enlever les occidentaux de leurs responsabilités. Ces subtilités sont d'autant bien venues que la grande majorité des personnages agit suivant leur propre conviction et leur devoir (le rôle qu'incarne Donnie Yen en est un bon exemple me semble t-il). Cela donne une profondeur appréciable au genre auquel appartient le film qui à peut être un peu trop facilement tendance à verser dans le nationalisme dure et creux. Yuen Woo-Ping (à mon goût) fait du très bon travail mais il lui manque la folie d'un "Iron Monkey" pour que je sois totalement emballé et malgré de sacrés idées visuelles (les tables empilées, le long morceaux de tissu mouillé puis utilisé comme un bâton). Sans doute a-il été obligé de s'adapté au projet, la première trilogie "OUATIC" étant une création "Tsui Hark" traitant assez sérieusement d'un véritable symbole chinois ici adulte et "Iron Monkey" (co-écrit et produit par Tsui Hark) montrant ce même symbole enfant. Le boss de la "Film Workshop" a, d'après ses propres dires, voulu à travers les chorégraphies, exprimer les états d'âme des protagonistes.
Un Hark-en-ciel au sommet d'un WuXiaPian...
Docteur Wong est avant tout un idéaliste, naïf et maladroit (sauf dans l'action), plongé dans la tourmente de l'Histoire et du progrès, témoin privilégié de la naissance d'une Chine nouvelle. Pour Tsui Hark, la vérité historique est soumise aux lois de l'invention et du romanesque et se transforme en une succession effrénée d'épisodes comiques et mélodramatiques. Quant aux fameux combats filmés comme des ballets, ils se chargent d'une valeur allégorique et accélèrent le cours du récit, quittant le stade de la digression pour constituer le cœur du travail narratif de Hark. Le film est également porté par le charisme et la grâce incroyables de Jet Li, parfait dans le rôle de Wong Fei Hung et digne successeur de Bruce Lee et de Jackie Chan au firmament du star-system asiatique.
Relayée par des trucages artisanaux, son élasticité physique ne connaît plus de limites, dans des chorégraphies (génie Yuen Woo Ping) dégagées des lois de l'apesanteur si tourbillonnantes qu'elles s'approchent d'une forme d'art visuel non figuratif. Le cinéma de Tsui Hark se fond alors avec son sujet, l'histoire de la Chine, et passe de quelque chose de presque primitif à la modernité la plus expérimentale.
La trame socio-politique est un poil moins fouillée que dans le premier opus, mais le duel final Jet Li/Donnie Yen reste tout simplement le meilleur combat jamais filmé de l'hitoire du cinéma mondial...
Un deuxième sans faute pour Tsui Hark, qui érige une nouvelle fois un pont aérien entre la légende du XIXème siècle et les restes de la Chine contemporaine.
Meilleur que le premier
quelle virtuosité!
Une suite digne du 1
Tsui Hark a toujours plein d'idées, et il refait rarement la même chose! Ici, le grand nombre de protagonistes du premier opus se réduit à un trio, de manière à approfondir davantage la relation tante Yee/ Fei Hung.
Le côté intimiste et "croisée de destin" laisse sa place à un récit beaucoup plus ancré dans l'histoire de la Chine, et prend une dimension politique loin d'être inintéressante, même si on aurait aimé la voir plus creusée. Par ailleurs, Tsui s'est lâché, avec un jeu sur la couleur et la lumière qui fait de chaque plan une peinture vivante, ce qui fait que l'esthétique générale est splendide, même si parfois trop poussive. Elle reste un superbe essai, qui sera atteint à la perfection dans l'épisode 3, où notre moustachu trouve l'équilibre parfait en positionnement du plan et des acteurs, contrastes et éclairages.
Les acteurs sont dans l'ensemble moins à l'aise que dans les épisodes 1 et 3, c'est le principal défaut. Jet conserve son charisme naïf, mais Rosamund semble trop indécise. Quant à Max Mok, il ne trouvera son rythme qu'à partir du "tournoi du lion", et il a du mal à faire oublier un Yuen Biao magnifique en Liang Kuan. Le fait que le personnage ait été bétifié ne l'aide pas vraiment. Donnie est relativement inexpressif. Restent Hung Yan yan (excellent en chef de secte égocentrique et fou), et David Chiang, qui une fois de plus est immense!
Mais que dire des combats, qui personnifient à merveille le terme de "ballets chorégraphiques", et défient la loi de l'apesanteur sans qu'on n'en doute une seule seconde? Ils sont d'une grace et d'une légéreté incroyables, aucun ne ressemble à l'autre, la maestria du réalisateur, du chorégraphe et des acteurs est admirable! Que ce soit les deux duels /Jet/Donnie (le combat au bâton est le seul "véritable" combat, quelle maitrise!) où l'affrontement contre la secte, ils sont inoubliables! Bref, une suite à voir à tout prix, réussie sur presque tous les points, même si légèrement inférieure au 1.
encore un bon film mais toujours pas le chef d'oeuvre escompté
TSUI HARK + YEN woo ping + Jet LI, on était en droit d'éspérer encore plus. ici les combats sont bons (certains magnifiques), réal aussi, mais ce n'est pas hyper accrocheur. ce n'est pas un chef d'oeuvre, même si il fait partie des meilleurs films du style. petite déception au vu de la réputation, sinon ça reste un bon film.
PRESQUE A LA HAUTEUR DU PREMIER OPUS
Le film, bien que moins prenant que le précédant reste un petit chef d'oeuvre. On y retrouve un Jet LI au mieux de sa forme face à un Donnie YEN excellent.
Un bon Tsui HARK.
Exceptionnel.
Je fais parti des gens qui ont été déçus en visionnant cette saga (les deux premiers opus grâce au dvd canal+) en effet, déçu par la vetusté de la tenue de l'image (et non le visuel en lui même), car comme chacun sais, la conservation des copies n'étais pas le fort de HK jusqu'au milieu des 90's. Parfois on s'indignera devant des plans super griffés et floue qui ressemble plus à un film des 70's qu'une production des années 90. = Le deuxième point qui déroute, c'est la densité du récit qui étonne pour un "film de kung-fu". Le contexte colonialiste de la Chine du XIXème siècle peux en dérouter. Il convient d'étudier un peu l'histoire pour les gens qui comme moi se sentent parfois submergés par ce genre de trucs. De plus Tsui Hark aime développer plusieurs facettes d'une histoire (le drame, la romance et la comédie). En clair LA grosse erreure à ne pas faire est d'attendre les combats bêtement. Pour l'avoir revu sur videoprojecteur (ce n'est pas un détail vu l'ampleur de la mise en scène), mon point de vue évolue totalement. J'ai pris une grosse claque. Je réalise enfin combien ce film est prodigieux. Là où je m'étais ennuyé (toute la première heure), je me suis passioné. L'aspect dramatique et romantique de l'oeuvre est superbe. Rosamund Kwan à un charme irrésistible. Le contexte politico-hitorique est passionnant. Jet Li qui incarne Wong Fei-Hong est parfait en justicier, qui se bas avant tout pour la tolérance et non pour un camp ou autre (les méchants du film sont tous chinois !). La force du récit est qu'il arrive à nous émouvoir et à nous faire rire. Pour un film dit d'action c'est une qualité rare. Lors des 40 dernières minutes, on entre dans une phase de maestria visuelle exceptionnelle. Les chorégraphies nous en foute plein la gueule et la caméra choisi toujours des angles de vues géniaux. On en sort vidé et ravis avec le sentiment d'avoir vu un film de divertissement complet. Le genre de film à voir et à revoir.
11 novembre 2007
par
Hotsu
Différent du premier mais tout aussi bon
Combats rares mais hallucinants, images magnifiques et humour léger : un divertissement de haute qualité à la mesure du premier film.
J'ADORE TOUJOURS LE GENERIQUE.....
La seule "vraie" suite du premier, ces 2 films forment presque un tout tellement ils sont semblables, certains prefereront le premier, d'autres celui-la, les 2 sont superbes...Du grand art!!
Bravo! Une suite aussi réussie que le premier volet! Les 2 combats entre Jet Lee et Donnie Yen (excellent) sont ahurissants. Utilisation intelligente des câbles. Les combats de OUATIC 2 mettent la barre encore plus haut: 10 fois plus speedés et explosifs que ceux du 1er opus, à tel point que ceux de OUATIC 1, en comparaison, ressemblent à une connexion Internet à bas-débit. Intrigue enthousiasmante. Même si OUATIC 1 reste plus essentiel que "la Secte du Lotus Blanc", cette suite ne déçoit pas du tout (au contraire) et c'est également, un des tout meilleurs films de Tsui Hark.
Cela même qui est déséquilibré...
La Secte du Lotus Blanc est un film mineur. J'entends: un film mineur de Tsui Hark. Car ce qui s'y donne à voir cède à une séquence altérnée d'inattentions ou de légèretés (comme autant de parasites comiques, situationnels, historiques, identitaires, etc.) et de désaxages de cinéma. Et tout le prix de ce film figure dans ces marges désaxées, pour un plan au cadre cinglé, pour un décor mis en boîte comme du muet, pour quelques sauts acrobatiques au travers d'espaces surcomplexes (armatures, échafaudages, ruelles) ou instables (la scène finale que Hark refera en mieux dans Dr. Wong et les pirates). Mais ce qui ne répond pas à ce désaxage alourdit considérablement la machinerie harkienne de la scénographie - elle-même, d'ailleurs, enfermée dans une systémique Jet Li/Yue Woo-ping trop lisse.
Comme ouatic1, un must du genre ....
... à voir et à revoir
De plus edition DVD canal ouatic1+2 est de très bonne qualité
excellent
les combats finaux sont tout simplement grandioses et halucinants,l'histoire un peu moins patriotique que le 1er,l'ensemble est tout aussi culte.genial.
Bien meilleur que le premier
Ce second volet des "Il était une fois en chine" m' a plus emballé par rapport au premier. Peut être parce que j'ai vu le 2 avant le 1 (d'ailleurs je les ai tous vu dans le désordre).
L'inventivité de la mise en scène est incroyable. Tsui Hark se lache complètement.
Jet Li est en pleine forme mais il se fait carrément voler la vedette par Donnie Yen qui lui n'est pas là pour plaisanter.
Un excellent Tsui Hark, a peine moins bon que le premier.
Ce film est terrible, l'histoire tres bonne nous en aprenant encore un peu plus sur l'identite chinoise, Jet lee toujours aussi bon et charismatique, les combats sont un poil moins bon mais toujours aussi impressionants et rapides (c'est dingue ce qu'on peut faire avec un torchon!).
Et la mise en scene est toujours aussi geniale et ebouriffante.
franchement a ne pas louper, d'autant plus qu'il existe maintenant en coffret dvd acompagné de OUATIC 1.
Aussi bon que le 1
OUATIC 2 est une des rars suites aussi réussies que le film initial.Le film est plus baroque (les couleurs sont sublimes) que le premier.Les combats sont d' une puissance visuelle inégalable (Il n'y a que OUATIC 1 et Drunken master 2 qui ont fait aussi fort).Il faut voir Jet Li manier le parapluie pour y croire !!!C' est fimé avec le génie caractéristique de maître Tsui et le montage des scènes de baston est divin.Le scénario est de ma part mieux que celui du premier volet ,mais c' est dommage que le film semble moins épique.On regrette aussi la présence de Yuen Biao...mais jet Li est peut être encore mieux que dans le 1.
Un chef d'oeuvre a voir et a revoir bien sûr.
c'est OUATIC tout simplement
jet li ....donnie yen.....woo ping....tsui hark =====> fei hong....
tout est dit... j'adore
IL était une fois en chine 2 ou la secte du Lotus Blanc
Ben moi, personnellement, je trouve se film complétement térrible.
Bref, du grand cinéma, un Jet Li au top, Une Rosamund Kwan toute à fait charmante et des scénes de combat spéctaculaire. Qui plus est, Tsui hark est vraiment trés fort pour entrecoupés les scénes par des tranches de vie chinoise traditionnelle.
Salut
Wizz
Tout simplement génial!!!!
J'ai toute la collection chez moi.... Jet LI est superbe!!! Il n'y a rien à rajouter!