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1.96/5
The Avenging Fist
les avis de Cinemasie
7 critiques: 1.36/5
vos avis
16 critiques: 1.56/5
C'est une blague? Malheureusement non ...
Comment qualifier ce film au plus juste ? J'ai beau chercher, le meilleur qualificatif reste: mauvais. Passons encore sur les stupidités du scénario, sur les trotinettes volantes et autres joyeusetés du genre. On sent bien que qu'Andrew Lau et Corey Yuen (non c'est pas possible, ça peut pas être les vrais, pincez moi) ont voulu faire un truc branché, hypertechno, avec quelques effets spéciaux à la matrix. Et... c'est le plantage complet, j'ai beau chercher je vois pas ce qui peut sauver le film: les combats? à coté de Avenging Fist, ceux de A Man called Hero sont esthétiques et martiaux! les acteurs? oui on aurait pu s'y attendre voyant le casting, et bien même pas! qu'est ce que Gigi allait faire là dedans, et Samo, et Yuen Biao? Les interprétations sont convenues, surjouées pour certaines mais sans folie aucune, rien à rattraper de ce coté là non plus. l'émotion? loupé aussi, pas un moment on n'a envie de s'interesser à la mort de la mère ou de la soeur ou du père, ou de n'importe qui d'ailleurs! Et tout est du même niveau: les effets spéciaux, la musique. Le pire c'est qu'il n'y a pas le moindre second degré pour rattraper tout ça, après tout Future Cops était aussi stupide mais au moins on s'amusait. Ici c'est le désert, rien à sauver. La seule chose qui m'ait amusé n'avait rien de volontaire mais il fallait oser: petite devinette si vous ôtez 20 ans à Samo, qui vous choisissez pour jouer le personnage? Réponse: Ekin cheng, vraiment trop drôle non ?
Un cauchemar pelliculé !
En cette belle matinée du Mardi 26 Février 2002, je vais me faire le plaisir de descendre le film que je considère comme le plus insipide de cette année. The Avenging Fist (quel titre d'une grande force, d'une infinie prestance, d'un subtil ravageur !) est donc la supposée adaptation du célèbre jeux de bourrin (le premier qui dit le contraire s'en prend une ...) Tekken et force il est de constater que le résultat est d'une nullité quasi outrancière ...
En fait, c'est bien simple, j'ai beau cherché ce film est affligeant du premier plan jusqu'au dernier ... Rien n'est bon tout est con et l'utilisation des images de synthèses atteint ici un sommet du ringard et peut provoquer des troubles de visions chez certaines personnes. Et les acteurs ? Tous très ridicules et d'une transparence réellement incroyable. Et les scènes d'actions ? Arrêtons les fantasmes !, The Avening Fist (ah ce titre décidément ...) est la représentation supra normal de la platitude extrême, il s'y passe rien, un inimaginable néant qui obligera tout spectateur (normalement constitué) à accélérer une bonne partie du film ...
Bon en bref, ce mauvais film signé Andrew Lau (Ah Andrew ! Tu nous avais habitué à mieux quand même ...) montre aussi comment certains producteurs, en l'occurrence ici Wong Jing et Andrew Lau (soupirs ...) prennent les spectateurs pour des gros cons ... Résultat ? Un cuisant échec au box-office local, on peut se moquer cette fois ...
Avenging Fist, ou comment trop se prendre au sérieux et abuser des SFX...
Alors que dans le cochon, tout est pas bon, dans Avenging Fist, tout n'est pas mauvais, mais de peu. On se prend même à imaginer ce qu'un bon réalisateur et scénariste aurait pu faire avec autant de moyens (Tsui quoi ? c'est qui ce gars? Non, Andrew rules !). Malheureusement, ici c'est la dream team Wong Jing Andrew Lau aux manettes. Résultat, c'est un peu une honte d'utiliser autant de fric pour faire ça...
La grosse déception, c'est la réalisation d'Andrew Lau, qui pète les plombs et se shoote aux effets spéciaux. Ca part dans tous les sens, sans cohésion, ça rend brouillon des mouvements qui ne le méritaient pas et qui auraient été bien plus impressionnants en étant filmés en continuité, même avec les effets. Au lieu de ça, Andrew cherche à mettre une tôle à MTV et y réussit pleinement. Nous par contre, les fans de kung-fu, y perdons tout l'intérêt du film. Car même si Corey Yuen arrive à placer quelques mouvements sympas dans cette histoire (sisi, j'en ai vus quelques uns au milieu des effets...), impossible de prendre son pied dans ce hachis de combat. Dommage, les acteurs semblaient se débrouiller correctement, on avait Yuen Biao et Sammo chez les vieux notamment...
C'est d'autant plus rageant que les effets spéciaux sont réussis. Mais Andrew les utilise n'importe comment... Ne parlons pas de son grand talent à filmer les scènes dramatiques... Car le film se prend énormément au sérieux, et enfile les scènes dramatiques comme des perles. Hélas, Andrew n'est pas le roi des sentiments, et c'est plus souvent un sour(p)ir qui va orner votre visage que la petite larme tant attendue. Pourtant, Gigi, Kristy, deux bonnes raisons de montrer de la compassion devant leurs petits yeux humides. Mais non, c'est tellement mal filmé et les dialogues tellement niaiseux que c'en est risible. Quant au scénariste, qui mélange avec bonheur des montagnes de gnangnantise (pour libérer le pouvoir ultime de l'Avenging Fist, il ne faut pas utiliser la haine, mais l'amour... Parce que nous venous tous de l'amour, vous savez ?), à des sommets de n'importe quoi (Kristy qui doit ouvrir la Forbidden Zone de Stephen Fung pour le faire revivre mais qui alors disparaîtra pour vivre à jamais dans son coeur? Oulà...) en passant par de l'humour assez mal placé (Samo Hung, 20 ans avant, c'était Ekin Cheng, c'est les effets secondaires du Power Glove qui l'ont transformé en petit gros, vous voyez le tableau?). Bref, la poésie est mal venue dans ce genre de film futuriste, ou alors Andrew n'a pas le talent pour faire passer la pillule...
Au final, il ne reste pas grand chose pour se faire plaisir. Bien sûr, il y a Gigi et Kristy, radieuses, qui donnent 0,5 points chacune au film. A côté de ça, Yuen Biao est sous utilisé avec un masque ridicule alors que tout le monde l'a reconnu, Samo fait le minimum syndical, Chin Kar-Lok hérite d'un rôle inutile, Roy Cheung fait "Ahahahahah" tout le film, Stephen Fung décroche la palme avec ses lunettes de ski sur le front pendant tout le film, Wang Lee-Hom montre des capacités athléthiques prometteuses gâchées par la réalisation, et seule Cecilia Yip arrive à faire passer de l'émotion. Bref, heureusement qu'il y a les filles dans ce film... Sinon, toutes les idées un peu intéressantes sont gâchées par leur réunion de manière très maladroite. Quel gâchis...
Les réalisateurs n'exploitent pas leur cerveau !
Pas la peine d’en faire des tartines en long et large, The Avenging Fist ne le mérite pas. Ce n’est pas tant que nous ayons à faire là à un navet indescriptible, il y a bien pire, mais à une série Z oui. Et c’est vrai que les images qui nous étaient parvenues avant la sortie du film ne laissaient pas planer beaucoup de doutes quant au résultat artistique : annoncé comme une adaptation live du soft de combat à succès de Namco, Tekken, il s’est rapidement avéré que nous étions bien plus en présence d’une entreprise opportuniste uniquement commerciale et sans grande ambition cinématographique. En d’autres mots, bienvenue dans le monde de l’exploitation made in HK. D’ailleurs, Namco ne s’y est pas tellement trompé puisque le studio de développement japonais a, très tôt, refusé de céder la licence officielle de son jeu pour ce film. Ainsi les producteurs ont été obligés de s’adapter en cours de route à cette nouvelle donne, ceci expliquant en partie le retard de la sortie du film à Hong Kong. The Avenging Fist n’entretient finalement que de lointains rapports avec son supposé modèle virtuel, tout au plus quelques looks et situations...en cherchant bien. Rien de moins étonnant avec comme grand ordonnateur de ce projet le producteur Wong Jing, dont la réputation n’est pas vraiment synonyme de qualité dans le petit monde du cinéma HK.
Dès lors, comme on peut vite s’en rendre compte, on sent bien que le scénario n’a pas été un des soucis majeurs de la production. Accumulant superficiellement quelques poncifs SF classiques, l’histoire devient vite le cadet des soucis du spectateur. Tout au plus s’amuse t-on à noter les nombreuses correspondances avec l’intrigue de...Star Wars ! Ainsi le « bad guy » de l’histoire tient le rôle de l’empereur, Yuen Biao celui de Dark Vader, Sammo Hung est Obiwan etc. Côté chorégraphies c’est aussi un peu le désert. Très peu nombreuses et franchement « mollassones », elles souffrent également de la présence d’acteurs sans réelles capacités martiales hormis un Yuen Biao esseulé. Ce sont donc les effets spéciaux qui retiennent un peu l’attention (et qui habillent les séquences de combat) car ils se révèlent au final d’un niveau relativement acceptable comparé au standing moyen encore en vigueur à Hong Kong. Bon rien de révolutionnaire, c’est sûr, mais de jolies lumières et deux ou trois plans bien foutus (qu’on retrouve à plusieurs reprises) sont à retenir. Pour ce qui est du design d’ensemble on oscille entre le cheap (Iron Surfer et ses lunettes de skis) et le déjà vu en moins beau (la ville à la Blade Runner). A noter que Eking Cheng fait un caméo dans la peau du personnage de S. Hung jeune !
Petite production sans envergure, The Avenging Fist ne retiendra l’attention que des fans d’Andrew Lau et des quelques acteurs de réputation présents dans le casting. Les aficionados de HK pourront se targuer de posséder une nouvelle pièce à leur collection et c’est tout ! Car question « Cinéma » nous sommes loin du compte : il y a pire mais il y a surtout bien mieux. Ceci dit, et comme votre serviteur s’est un peu amusé à la vision du film, on peut tout de même tempérer ce jugement par une comparaison avantageuse : compte tenu des différences de moyens entre l’industrie hollywoodienne et hongkongaise, The Avenging Fist n’est en fin de compte pas plus nul que The One...
Un véritable calvaire
Film insipide, sans âme qui n'a absolument rien à voir avec le jeu video
Tekken. Les acteurs sont mauvais comme ce n'est pas permis (
Wang Lee-Hom en tête) et le scénario totalement absurde. On se demande comment ils ont fait pour en arriver là.
Du gâchis...
Andrew Lau est un réalisateur particulier. Capable du meilleur comme du pire, on ne sait jamais à quoi s'attendre avec lui, si ce n'est à une qualité technique souvent irréprochable. Ce n'est malheureusement pas le cas ici.
Baignant dans un style très sf, cette adaptation non officielle de "tekken" souffre d'effets spéciaux souvent ratés. Et si certains décors sont très réussis, l'ensemble fait relativement cheap. Il suffit de penser à cette scène de panique durant laquelle une foule court partout. Plusieurs plans sont utilisés à l'identiques à plusieurs reprises.
Plutôt que de conserver l'idée du tournoi, simple, mais souvent efficace, les scénaristes ont jugé bon de construire une histoire de dictateur joué par un Roy cheung insipide, en faisant de Yuen Biao un ersatz de Darth Vader.
Le casting est composé d'acteurs de l'ancienne génération très doué, Sammo, Biao, Cecilia, Chin Kar Lok, dans l'ensemble sous exploité, et de Stephen Fung, ici très mauvais, qui se emt au niveau de l'inexistant Wang Lee Hom. En résulte des combats mous, courts, peu nombreux et rageants à défaut dêtre rageurs. Seul les passages dans lesquels Biao est présent méritent à peu près le détour, sans non plus être extraordinaires. Il faut dire qu'il est le seul artiste martial sollicité dans les combats.
La frustration est à son comble lorsqu'on pense assister à un affrontement entre Biao et Sammo, alors qu'un seul coup est donné. Relativement peu palpitant, on ne retiendra que quelques décors réussis de ce "avenging fist", et l'interprétation d'un Yuen Biao habité malgré un rôle qui ne lui rend pas honneur. A éviter.
Un poing, c'est tout
Rares sont les productions SF asiatiques, et surtout hongkongaises. Voir "Avenging Fist", il serait tentant de dire, que c'est bien comme ça et que si Andrew Lau aurait pu se passer de cet incident de parcours, l'entière histoire cinématographique de l'archipel ne s'en serait pas plus mal porté. Mais voilà: le film existe et est une véritable punition pour ses spectateurs.
Malheureusement, Andrew Lau a découvert les possibilités des effets spéciaux informatiques à l'occasion du tournage des "Stormriders"; du coup, il laisse éclater sa joie sur celui de "Avenging Fist" enchaînant les pires trucages dans tous les sens – sans que cela en fasse beaucoup…de sens. L'histoire, réduite au minimum, est assez ridicule et les acteurs lui rendent justice en cabotinant à n'en plus finir sur des fonds néons affreux. Lau réussit tout de même le rare exploit que de créer une œuvre instantanément démodé. Il a beaucoup de bruit, mais très peu de fureur…bref, une incroyable perte de temps sans intérêt aucun.
Une daube de plus signée Andrew Lau
Comme d'hab Andrew Lau réalise un blockbuster ennuyeux dont seul les effets spéciaux sont réussis. Dommage car le casting était bien vu, mais sans rôles à interpréter, le casting ne peut rien...
"Matrix Reloaded-like"
Bof, je vois pas en quoi ce film serait plus nul qu'une série B ricaine de base ou qu'un gros blockbuster pop-corn.
Il ne mérite pas tant de haine ni d'étonnement négatif. De la part de l'équipe de Stormriders et A Man Called Hero, je m'attendais à bien, bien pire !
C'est carrément le meilleur des trois, parce que le moins bavard, le plus abouti et crédible visuellement, le moins lourdingue, le plus fun et le plus généreux sur tous ses effets.
Ok, c'est du formaté/commercial/MTV-like, mais bon...pour peu qu'on soit fan de films complètement gratos jouant la carte du jeu-vidéo, de la synthèse et des combats flashy à lasers et ondes de chocs, Avenging Fist peut alors vous combler d'autant plus que les effets spéciaux assurent ce qu'il faut là où il faut, même s'il se révèle moins convaincant sur son intrigue ou ses scènes plus intimistes. Rien de fondamentalement honteux en tous cas.
Ok, c'est pas le meilleur kung-fu qu'on ai vu, mais voila...il va falloir que les puristes et spécialistes du genre, peut etre légèrement vieillissants ou moyennement synchros avec certaines références de notre époque, nous lachent la grappe deux secondes avec leur exigeance chorégraphique et leur mythologie Shaolin, parce qu'on pourrait aussi leur reprocher de ne plus être en phase avec une certaine vague de récents films souvent plébiscités par tout un public ou toute une génération et qui sont carrément en train de faire école. D'inspiration vidéo-game, cyber, manga et "techno-spirit", cet Avenging Fist fait partie du club fermé de films que les créateurs de Matrix Reloaded par exemple ont du précieusement voir...
C'est vrai que ces films cultivent la gratuité la plus complète, se complaisent à se justifier souvent par un univers esthétique numérique fortement revendiqué, et proposent des combats "esbrouffes" mettant en scène tout ce qu'on veut sauf des athèltes....et alors ? C'est un style en soit.
Je trouve pour ma part que ces films sont souvent très généreux sur leurs effets et qu'ils proposent souvent des structures de narration originales et décalées. On s'emmerde rarement en tous cas.
Il va falloir cesser de descendre le cinéma purement formel et de lui reprocher ce qui n'est pas dans son deal de base de toutes façons, sous prétexte que l'absence d'alibi intello et l'absence de structure narrative "intelligible" puisse poser problème à certains. Sans comparer ce qui n'est pas comparable Hitchcock en a aussi fait les frais à son époque par exemple...donc prudence.
Pour moi cette vague de films est en train de subir les mêmes critiques que la techno à ses débuts, a savoir que c'est une pale copie de sons acoustiques ou humains, à effets pompiers et faciles ne valant jamais les "originaux" (les combats?), que c'est creux, linéaire, déshumanisé et vide de sens (la narration zapping-MTV ou manga-fun ?), que ce n'est pas de la musique (et pas du cinéma ou du "bon-vrai" cinéma là?) et pourtant quel pied sensoriel et visuel souvent ils proposent. Le côté plastoc, sytnhèse et numérique est un style assumé et revendiqué, au même titre que c'est maintenant une forme d'ésthétique à part entière.
Mais encore faut-il les prendre avec le bon angle et être un minimum receptif aux références et aux univers abordés.
Quand à moi je conserve précieusement tous mes Legend of Zu, Volcano High, Black Mask 2, Avenging Fist et bientot Matrix Reloaded que j'attends impatiement en DVD maintenant.
Le temps jouera en leur faveur je pense, mais je préfère ne pas attendre d'ici là pour apprécier leurs charmes.
il faut du courage pour regarder le film en une traite
bon ok, pour commencer c'est pas mon style préféré de film (film futuriste , bourrée d'effets speciaux) mais bon il y a quand meme un casting de reve et corey yuen au commande. mais non la sauce ne prend pas ici. c'est tres mauvais.
lol...
Tout simplement minable... on coprend pourquoi Yuen Biao porte un mask tout le long du film...
Une des pires daubes que j'ai vu
Ce film est juste naze.
J'ai achete ce film (En tant qu'étudiant fauché, on est vraiment vénère de perdre 10 euros) par curiosité, et aussi pour me faire un avis sur le film qui a ete qualifie de bon par un magazine en l'occurence Otaku, et "ayant du punch" selon une emission sur les dvds que je ne citerai pas.
Premierement le look des persos est ridicule (Stephen Fung en Hwoarang(Cf Tekken 3 et suite) c'est quelque chose...), les combats (si on peut les qualifier comme tel...) sont mauvais (pourtant Corey Yuen fait de bonnes choses), et le scénar franchement mauvais. Nul, nul, nul.
avenging fist
Le point fort du film sont incontestablement les effets spéciaux qui sont incontestablement réussis, cela dit on s'en serait bien passé lors des scènes de combats qui ne sont pas génial (pu...rée!! avec corey yuen en chorégraphie et samo hung et yuen biao à l'affiche, y a de quoi faire, pas besoin de beaucoup d'effets spéciaux, sauf pour les deux petit heros pas très débrouillard peut-être...), d'ailleur certaines phases de fight frise le ridicule, dans d'autre on sent du talent mais elles sont si rares.
en bref c'est un film de S.F. plein d'effets numérique et de lumière très réussis mais il n'y à pas grand chose en fait, et ça ça m'énerve car ils avaient les gros moyens (voir aussi le casting)et le talent (samo, yuen et corey yuen) et ils font rien.