Définitivement classique
Merveilleuse surprise que de voir un tel film signé Wong Jing. Un film respecteux de la tradition dans le bon sens du terme comme en témoignent les premières scènes avec Lau Ching Wan et Francis Ng, au point que je l'aurais volontiers pris pour un film d'Andrew Lau ou de Gordon Chan. La grande force du film provient du traitement des personnages, jusque dans les seconds rôles Chapman To, Jordan Chan et Terence Yin en tête. Le duo Anthony Wong - Raymond Wong fonctionne à merveille. Le tout est filmé avec un sens du mouvement qui met en valeur les guns fight et soutenu par une bonne bande son. Bref que du bon.
21 septembre 2003
par
jeffy
La couleur de ma trousse? Jaune avec des points verts, pourquoi?
Blabla issu de
ce dossier.
Quelle belle consécration pour Anthony Wong qu'est ce
Colour of the Truth ! Comment comment ? Ca n’est qu’un
Wong Jing foutraque, un truc post
Infernal Affairs sous influence, un de ces milliers de films créés dans le sillage d'un autre qui, lui, aura marqué son temps, son public, le box-office ? Alors faut pas déconner déconner-nez ? C’est parfaitement vrai, je vous le concède – et le con cède souvent devant le bonimenteur – mais
Marco Mak est en renfort à la réal' et, surtout, Tony y est tout bonnement parfait ! En plus du film, de ses fringues et de ses flingues il porte avec classe la plus belle paire de lunettes de toute sa filmographie ! Il rend très chouette une simple bonne série B par sa seule présence. Regardez cette fière monture ! Les oreilles de Tony sont propices à l'amerrissage de lunettes en douceur. Voyez cette fixité, ce formidable segment de chair qui lie l'oreille au visage. Ca tient ! La magie opère et la couleur de la vérité se lit enfin dans les yeux d’Anthony Wong : c'est un acteur, dont le métier consiste à mentir. Tout ceci n'est que cinéma ! Ah, quel talent !
Très bon polar assez détendu
L'histoire est plutôt sympa ; elle ne navigue pas sur trop de convenu ni trop d'intrigue ; ça reste assez linéaire avec un semblant de suspens ; mais en gros ça suit un fil conducteur intéressant. Les acteurs sont très bon et Chapman To vient ajouter la petite touche comique avec ses grenades. J'ai passé un bon moment ; ce n'est certes pas le polar du siècle mais c'est quand même franchement synpathique.
Old school, new school, là est la question.
Ah le retour du p’tit père Mak au polar, on attendait ça impatiemment depuis ses escapades plus ou moins convaincantes vers d’autres styles. Alors qu’en est-il de ce Colour Of The Truth au casting riche et hétéroclite où se côtoie valeur sûr et pseudo jeune pousse ; produit par le roi du portnawak, le vénérable WONG Jing. Et bien à l’image des acteurs le métrage passe du (très) bon au moyen et il est clair que ce projet surfe sur le gros succès d’ Infernal Affairs.
Au début on assiste à la mort du flic 7up (LAU Ching-Wan) et du gangster Barbecue (Francis NG Chun-Yu) tués par le commissaire Wang Jiang (Anthony WONG Chau-Sang). Dix ans plus tard, les fils de 7up et Barbecue nommés Cola (Raymond WONG Ho-Yin) et Wai (Jordan CHAN Siu-Chun) ont suivi la même voie que leur père et veulent se venger.
Sous un scénario relativement commun se cache un film… commun. Pourtant le début commence très fort, une petite musique tribale africaine (soit on aime, soit on déteste !), belle photographie, une réalisation et un montage qui suient (normal c’est du Mak). Arrive alors à l’écran Lau Ching Wan, puis Francis Ng, et enfin Anthony Wong ; tout le monde se retrouve sur le toit d’un immeuble où se déroule l’une des meilleures scènes du film, et là une larme coule au coin de mon œil, je n’espérai plus voir un jour un tel casting dans un polar. Ce premier ¼ d’heure passé (les meilleures 15 minutes du métrage) arrive la relève ; Raymond Wong s’en tire avec les honneurs, c’est vrai qu’il est assez monolithique cependant ça colle bien au personnage qu’il interprète. Jordan Chan assure le minimum, il ne force pas son talent ; Chapman TO Man-Chat cabotine juste ce qu’il faut et les actrices Gillian CHUNG Yan-Tung et Pinky CHEUNG Man-Chi sont jolies (à défaut d’avoir du charisme). Les petits jeunes ont encore un peu de boulot pour arriver au niveau de leurs Aînés.
Après ce début de haute volée le film s’embourbe et la tension baisse malgré des gunfights péchus. Autre défaut, le nom des héros complètement abruti (7up, Cola, Barbecue), pas obligé de faire n’importe quoi pour être original.
Au final on ressort de la vision de Colour Of The Truth satisfait et déçu, satisfait car le polar à HK n’est pas complètement mort et celui-ci est plus qu’honnête ; et déçu car au vu des 15 premières minutes on se dit qu’on est passé à côté de quelque chose de grand.
09 novembre 2003
par
Junta
Polar tout à fait décent techniquement, même si un peu froid
Le défaut principal des productions Wong Jing, tout le monde le connaît: techniquement, cela ne casse jamais trois pattes à un canard. Vient ensuite le problème du scénario, souvent peu soigné malgré quelques idées. Tout le monde connaît également les qualités: une certaine efficacité dans l'humour, des castings "all stars" et l'absence de limites. Avec Color of the Truth, Wong Jing réussit à réduire ses défauts typiques pour livrer un film bien plus équilibré que d'habitude.
Les apports d'un Marco Mak à la réalisation et au montage sont évidents. Solide technicien, Mak apporte une qualité technique absente des réalisations en solo de Wong Jing. Les scènes d'action sont bien tournées, les effets de caméra donnent un certain dynamisme, bref, cela ne ressemble pas à un film limite amateur. Wong Jing a visiblement passé plus de temps sur le scénario, puisqu'on assiste ici à une intrigue à tiroirs assez plaisante, en tout cas bien plus que dans ses comédies. La touche d'humour est assez efficace, même si pas forcément utile, les retournements de situation pas forcément prévisible, la dramaturgie tout à fait correcte. Le défaut principal reste tout de même la froideur de l'ensemble, qui peine à générer une quelconque émotion, là où le remake déguisé du film que réalisera Wong Jing l'année suivante (Moving Targets) se montre bien plus convainquant.
Le casting est impressionnant et fait correctement son travail, avec un Anthony Wong très à l'aise comme toujours, des To Man-Chat, Terrence Yin ou Gillian Chung utilisés à bon escient. Patrick Tse et Jordan Chan en font des tonnes, mais cela colle bien aux personnages, et Raymond Wong prouve qu'il progresse certe lentement, mais plus sûrement que dans des comédies. Les caméos sont comme toujours luxueux, avec un petit face à face Anthony Wong / Lau Ching-Wan / Francis Ng évidemment excitant.
Color of the Truth est donc un polar tout à fait décent techniquement et scénaristiquement. On est étonné par les qualités du scénario de Wong Jing, habituellement bien moins fin que cela. Conseillé donc.
La Touche HK ne suffit pas...
Après un Infernal Affairs en forme de réponse de Hong Kong à la mondialisation en essayant de reprendre ce qui réussit si bien un temps au cinéma coréen, voilà Colour of the Truth, tentative de réponse d’un Wong Jing jamais le dernier à essayer d’exploiter un filon qui marche au succès du film d’Alan Mak et Andrew Lau, réponse aussi en tandem à la réalisation avec un autre Mak ex-espoir du polar made in Hk qui coréalise et avec Wong Jing au scénario.
De fait, le film est une assez bonne surprise pour un Wong Jing: là où il avait l'habitude d'utiliser le n'importe quoi comme base narrative, il offre ici un scénario certes proche d'Infernal Affairs par son thème du voyou infiltré dans la police mais misant sur la force pure du rebondissement plutôt que sur la cohérence d'ensemble et mélangeant les genres –SDU, comédie, drame, polar d’ambiance, action- dans la plus pure tradition du divertissement à la hongkongaise et bien ancré dans Hong Kong et sa topographie là où Infernal Affairs pourrait aussi bien se passer à Los Angeles. Qui plus est, l’inventivité visuelle de la réalisation de Marco Mak le fait alterner gunfights montés de façon sèche, zooms, cadrages penchés, accélérations et filmage aérien virtuose. Question casting, Lau Ching Wan et Francis Ng sont assez égaux à eux memes pour que leur disparition prématurée du film soit rageante, et Anthony Wong égal à Anthony Wong. L’usage incongru de rythmes africains est quant à lui le genre d’idées dont on ne sait pas si on doit la trouver déplorable, géniale ou hongkongaise, un choix musical en tout cas bien moins soulant que les scores SDU trop entendus du coté de la Corée. Jusqu'ici tout va bien...
Sauf que le film souffre de défauts non négligeables qui l'empechent d'emporter le morceau: Marco Mak n’a pas dépassé ses limites en tant que cinéaste –gunfights parfois confus, effets clippeux-, la photographie est terne; ensuite, Wong Jing ne peut s'empêcher de caser de l'humour gras double –la grenade entre les parties, les blagues tombant à l’eau du personnage de l’acolyte d’Anthony Wong joué par Chapman To, les personnages aux noms de boissons gazeuses- ainsi que quelques idées narratives plus proches du ridicule que de la Milkyway. Le score se fait en plus parfois moins inspiré lorsqu'il aborde un style SDU plus classique. Sauf que la pricipale carence se situe au niveau du casting: Raymond Wong ne se révèle pas à la hauteur des contradictions de son personnage, Patrick Tse ne convainc pas en parrain qui de meme que Jordan Chan en fils revenchard qui joue les sous-Jules Whinfield à coup de citations bibliques.
Vu le désert actuel en matière de cinéma de genre à Hong Kong, Colour of the Truth est une tentative louable. Le film serait-il passé inaperçu à l'époque où HK était encore une plaque tournante du polar asiatique? A mes yeux oui. S'il se laisse regarder sans déplaisir, il demeure déjà moins bon qu'Infernal Affairs et s'oublie dès son visionnage achevé. D'où une impression de gachis devant ce qui aurait pu etre un bon Wong Jing.
Un trés bon polar fait par un trés bon Marco Mak!
"Colour of the truth" est pour moi un polar HK parfait en tout point. Le casting est parfait, la mise en scène est 100% polar avec tous les effets de styles que cela comporte (lunettes noires, flingues à presque tous les plans, trahisons, retournement de situation, parrains, équipe de flics de choc...), les gunfights sont superbement efficaces.
A découvrir de toute urgence!!!
Un bon polar
Colour of the Truth, co-réalisé par le monteur de talent Marco Mak qui a depuis montré des qualités certaines en tant que réalisateur avec pour la plupart des polars de bonne facture (The Blood Rules, Cop On A Mission ...), affiche a l'instar d' Infernal Affairs un gros casting.
Anthony Wong reprend ici son rôle de commissaire peu éloquent voire même plus énigmatique que dans IA - s'ajoutent ici Jordan Chan, Lau Ching-Wan et Francis Ng, et une Twin, tous très bons dans ce polar où le personnage principal est Raymond Wong, dont le père policier (joué par Lau Ching-Wan) a apparement été abattu par Anthony Wong alors que le premier était à l'époque un enfant. Il décide alors de changer de nom, adoptant celui de Cola, et d'entrer dans les forces de police pour chercher à mieux connaître le comissaire Wang.
Contrairement à Infernal Affairs, Colour of the Truth est plus un polar d'action - le scénario est assez simple mais l'interprétation fait ici la différence, emmenée par un Anthony Wong en très grande forme.
Colour of the Truth s'impose donc comme le meilleur polar de 2003 HK avec PTU (dans un style très différent) et permet de mettre au crédit du producteur Wong Jing un film efficace et sérieux (c'est rare de sa part).
bon polar assez classique
pour les défauts:
- on se serait passé des blagues balourdes car l'ambiance globale est plutôt au sérieux et au suspense
- un peu trop artificiel parfois
- certains clichés un peu forts
les qualités:
- personnages bien construits et interprétés avec conviction, charismatiques
- histoire prenante malgré un manque d'originalité (c'est plus attractif que ThE MISSION par exemple)
- bien ryhtmé
donc bon polar, actualisant les classiques du genre
Comment une collaboration aussi inattendue peut-elle conduire à un résultat aussi conventionnel ? Bref un film qui déçoit plus qu'il n'est mauvais...
Le film captive dés les premières images grâce notamment à de vertigineux scrollings balayant les buildings hong-kongais et un thème musical assez surprenant (et risqué). Ce prélude convainquant occulte sans mal la déception face au temps de présence anecdotique de Francis Ng et Lau Ching-wan. Même si le film s’égare rapidement dans les clichés et ce, jusqu’à la dernière image, il reste néanmoins captivant en raison d'une réalisation et d'un score très réussis. Les personnages sont parfois trop caricaturaux. Ca passe avec Anthony Wong (v'la le cliché du mec qui lâche jamais ces lunettes de soleil!) mais Jordan Chan nous avait habitué à mieux. On est en revanche pas déçus mais plutôt habitués au jeu sans vie d’un Raymond Wong qui manque décidément toujours autant de maturité. Quant au bad guy du film (qui n’avait apparemment pas fini son paquet de cigares dans "Shaolin soccer"), il a tellement la classe qu’il se sent obligé d’en faire des tonnes et des tonnes.
Niveau action, si les acteurs tapent bien la pose un gun à la main, on aurait aussi apprécié les voir dans un contexte un peu plus énergétique. Les gunfights se résument souvent à des plans de « mecs qui tirent » suivis de plans de « mecs qui reçoivent les balles ». Gunfights pas toujours pris au sérieux par ceux qui les mettent en scène puisque des notes d’humour à deux balles les ponctuent, histoire d’être sûre qu’aucune étincelle ne risque de faire jaillir la moindre intensité.
Le film aurait fait partie des meilleurs polars avec un rythme plus soutenu et une fin moins vite expédiée. Dommage car le film était impressionant sur bien des points.
Conventionnel mais sympa
Beau casting, intrique classique mais qui reserve quelques rebondissements,
Colour of theTruth est un bon petit polar plutôt agréable à suivre. L'ex monteur
Marco Mak rempli haut la main son contrat.
UN POLAR BIEN FICELE ET ASSEZ PRENANT
D'une facture plus qu'acceptable et avec une belle brochette d'acteurs, colour of the truth s'en sort plutot pas mal. De belles scènes, des liens entre les protagonistes bien ficelés pour une histoire certe bien banale mais prenante.
A voir sans aucun problème :-)
Wong Jing peut remercier Anthony Wong!!
Ayant acheté ce film sans prêté attention au fait que l'infâme Wong Jing se cachait derrière la caméra,je fus très réservé quant sort que j'allais réserver au disque et à son emballage lors de la découverte de cette nouvelle accablante.Ayant ingurgité six cachets de prozac, ayant veillé à scellé mon écran au sol, ayant pris la précaution d'éloigner de mon champ d'action tout ustensil pouvant se transformé en arme mortelle(comme une knacki ou un caniche kamikaze),je me tenais télécommande à la main près à faire face au nouvel affront que l'ignoble Wong Jing lancait aux cinéphiles de l'univers tout entier.Un casting de folie,Francis Ng,Lau Ching Wan,Anthony Wong,Jordan Chan...mais @!#$ c'est le Jean Marie Poiré local qui est derrière la caméra!!Finalement après un entretien téléphonique d'un heure et demi avec mon psy, je me décide à franchir le pas:"Ramène ta geulle Wong!!".Et là....surprise, la séance se passe bien ,pas de problème majeur,un divertissement tendance polar,un arnaque prévisible sur le casting qui limite le temps de présence de Francis Ng et de Lau Ching Wan à quelques minutes,un Anthony Wong convaincant et qui à lui seul hisse ce film au dessus de la moyenne,tout veillant à ne pas en faire un chef d'oeuvre.Bon pour cette fois tu l'as échappé de justesse Wong mais un jour tu paieras pour tout le mal que tu as fais au cinéma et aux spectateurs!!
Faire de deux pierres... un coup !
C'est ce que se sont mis en tête le tandem Marco Mak/Wong Jing, soit l'un des meilleurs réalisateurs hongkongais actuel et l'éléphantesque producteur/réalisateur.
Pour commencer, disons que l'idée de base est de voguer sur la déferlante polar noir de l'énorme succès commercial de Infernal Affairs. L'avantage de ce genre de projet, c'est qu'il n'est pas utile de se creuser les méninges pour trouver un scénario béton. Ce Colour Of The Truth ne déroge pas à la régle, le scénario est vraiment étriqué, et ne permet pas de s'attendre à des merveilles de développement.
Le film s'étire donc longuement sur un peu plus d'une heure trente, avec un rythme trop lent pour accrocher totalement. Reste une interprétation encore une fois magistrale d'Anthony Wong, en flic dur à cuire revenu de tout, Jordan Chan est bien et on peu revoir Francis Ng et Lau Ching-Wan perdu depuis quelques temps déjà dans les méandres de la comédie niaise. A noter la présence du vétéran Patrick Tse Yin.
Ce film est donc un semi-échec ou une demie-réussite, selon la tendance qu'on veut bien lui affilier. Polar mou avec scénario étriqué et interprétation très honorable, ce Colour Of The Truth ne restera certainement dans les mémoires.
Gros casting pour ce polar a l'intrigue prometteuse, mais qui s'éparpille un peu trop au fil du film. Une musique pas toujours de bon goût, quelques gunfights sympatoches et deux ou trois personnages sympa n'aideront pas ce polar un peu mou a vraiment décoller.
Vérité entremêlée
Colour of the Truth / Hak bak sam lam (2003) est une réalisation de Marco Mak qu’il partage avec Wong Jing qui est ici également producteur. Ce thriller vaut surtout pour son casting cinq étoiles puisqu’il réunit en guest des acteurs tels que Lau Ching-wan et Francis Ng. Anthony Wong partage également l’affiche avec les jeunes Raymond Wong, Jordan Chan ou encore Gillian Chung. Le film s’inscrit dans la lignée des policiers post-Infernal Affairs, un bon scénario alambiqué avec des personnages bien écrit.
Colour of the Truth est parsemé de scènes remarquables qui valent le détour artistiquement parlant. Pourtant le film est loin d’être excellent avec des scènes par moment lourdes, une scène d’action particulièrement bien mené (l’exiguïté de l’appartement) et une fin qui pâtie d’une morale bien pensante, la justice avant tout malgré quelques rebondissements réussit tout du long. On aurait sans doute préféré une fin un tantinet plus obscur où les personnages n’auraient pas été tout blanc ou tout noir.
Colour of the Truth est donc un thriller de bonne facture, avec un bon rythme qui nous tient en haleine. Le gros bémol restera l’emploi de la musique totalement désuète par moment et qui a comme conséquence de dénaturer le contenu du film.
Paco Rabanne a un sosie chinois, c'est moi qui vous le dit !
Enorme ! Durant tout le film je me suis bidonner en voyant ce
Paco Rabanne chinois faisant office de méchant ;)
A part ça, le film est sympa sans plus, le scenar est classique mais le tout se laisse facilement regarder.