C'est lui l'Homme avec un grand H : City Hunter... 
City Hunter est des grands classiques du manga, surtout en France où la série a connue un franc succès. Toujours drôle, porté par des dessins admirables, City Hunter est un manga remarquable, à mes yeux beaucoup plus réussit que son adaptation à la télévision.
Les deux premiers tomes sont les plus violents de la série. Ensuite Ryo se calme et (comme la plupart des héros) préférera désarmer ses adversaires plutôt que les tuer... En ce point il diffère de Cobra avec qui il partage la palme du représentant le plus caractéristiques de la gent masculine dans l'histoire de la BD : râleur, très porté sur la chose, parfois maladroit et distrait, mais aussi fort, courageux et habile au moment opportun. Avec un coeur gros comme ça (même s'il préfère ne pas le montrer pour garder son image de tueur intraitable...) Ryo est définitivement l'un des héros les plus attachants jamais dessiné !
Une qualité exceptionnelle du dessin et du scénario (même si parfois celui-ci peut être un peu répétitif), que demander de plus sinon une suite (d'ailleurs une fin peu achevée laisse ouverte la possibilité d'une éventuelle reprise de la saga...) ?
Tout simplement irrésistible ! ! !
Ryo
Le personnage de Ryo porte complètement cette série. Il est incroyable et comme souvent chez Hojo, son caractère, superficiel en apparence, cache un passé des plus tristes. Il est réellement imbattable et n'a aucun point faible si ce n'est son attachement pour Kaori . City Hunter mérite bien son rang de meilleure gâchette mais aussi de plus gros satire du Japon (ou peu être du monde) en étant le roi du "Coucou".
Une histoire entraînante et pleine d'humour
Le gros point fort de ce manga tient à son humour. Ryo est tellement impossible et toujours à faire des bêtises. J'ai rarement autant rit (excepté pour Dr. Slump ). Bien sûr les 36 volumes de l'histoire la rendent un peu longue et répétitive, cependant l'auteur a su remonter l'intérêt dans les derniers volumes en faisant ressurgir le passé tourmenté de City Hunter. Seul accroc : la chute finale de la série, en queue de poisson, est assez décevante.
Un graphisme en progression
En comparaison avec Cat's eye, on voit bien que Hojo a atteint un stade supérieur. Niveau qui ne cesse d'ailleurs pas de s'améliorer au fil des volumes pour atteindre la perfectionnisme qu’on lui connait.
Manga - série TV
Qui n'a pas en mémoire les voies ridicules des grosses brutes de Nicky Larson ... Naturellement, la version manga ne permet pas de restituer les sons, mais l'absence de censure et la meilleure qualité des dessins lui donnent largement le dessus sur l'adaptation TV.
Pas mal
plus de violence, plus de sexe, et moins d'humour que la série animé, le manga Nicky Larson n'est pourtant pas mal.
On apprécie suivre les aventures du nettoyeur, plein de ressources et de ses ennemies débiles
Excellent 
Vraiment l'un de mes mangas préférés. De très beaux dessins de Tsukasa Hojo, de l'humour, de l'action, c'est un Must!
Sympa
Ryo en mode Mokkori !
Un manga de Tsukasa Hojo dont on sent qu'il maîtrise son sujet au fur et à mesure de l'avancement de sa série. On s'aperçoit rapidement du ton décalé et du second degré omniprésent, avec des passages en mode Mokkori (cherchez vous même dans le manga ce que ça signifie !) qui peuvent facilement choquer les personnes adultes voyant leurs enfants regarder ces images, un rictus aux lèvres. Car oui, cela peut paraître indécent, mais adapté à l'humour ambiant régnant dans les pages de chaque volume de ce manga.
Tsukasa Hojo a un coup de crayon particulier mais agréable, surtout au niveau des femmes, qu'il dessine particulièrement bien (cela se vérifiant dans Angel Heart), mais l'on peut se demander à la lecture du manga s'il n'existe que des belles femmes au Japon !
Pour finir, la participation de personnages récurrents tels que Kaori, Saeko ou encore Umibozu le bourrin (appelé le Mammouth dans l'anime français) rajoutent du piment à l'histoire, même si une certaine répétition se fait, surtout dans les premiers volumes. Bref, dépassez le second degré, dépassez les répétitions du début de la série qui se cherche un peu, et vous tirerez tout le jus de ce très bon manga. Et au final, vous vous poserez aussi la question... Peut-être que l'humour de Ryo Saeba lui permet de dissimuler son mal-être. Peut-être que sa décontraction quasi permanente est feinte... J'en veux pour preuve les quelques rares images où il apparaît le visage plus grave que jamais, avec des étincelles de fureur dans ses yeux. Son vrai visage, au final...
