Le 007 chinois
Pour les puristes, je ne suis pas sûr que ce film plaise à tous les amateurs de James Bond, mais moi qui aime assez bien l’agent secret britannique, je suis sorti très satisfait de ma séance.
Le scénario ne vole pas haut, certes, mais c’est plutôt drôle et on retrouve bien tous les traits caractéristiques de la série culte. Tout à été parodié, la musique, les méchants, les armes et les gadgets. Cela tourne parfois au ridicule, mais si l’on reste dans le contexte du film c’est excellent. Peut être un peu dévalorisant pour son modèle, mais c’est bien là la rançon du succès.
Seule petite note négative, c’est un peu sanguinolent, mais quand on se bat au couteau de boucher, ça ne peut pas vraiment tourner autrement…
Un bon moment de détente et surtout de rigolade en perspective.
Excellente parodie, reprenant bien tous les détails des James Bond
Première réalisation de Chow, et quelle prestation. C'est du début la fin la parodie idéale d'un film ; à savoir que tous les cliché, ou marques de fabrique des James Bond, se retrouve dans ce film et parodiés joyeusement dans l'hire générale ; en commenant par le générique stylé, la coiffure toujours bien en ordre, les gadjets bondesques, tout passe à la casserole du cuisinier/boucher Chow qui s'éclate comme de bien entendu des deux cotés de la caméra. Anita Yuen est craquante en plus en Chow's Girl, surtout dans la scène où elle soigne ling ling chai, avec son visage tout triste. Enfin un grand moment d'humour et un sacré premier film pour l'ami Chow.
Une excellente comédie délirante et parodique porté par le duo Stephen Chow / Anita Yuen
Après
la déception qu'a constitué Fight
Back to School, voici un deuxième Stephen Chow comique du plus
haut niveau. Parodie évidente de James Bond, mais aussi d'autres films
(essentiellement HKgais, dont révisez vos classiques), et comédie
tout court, From Beijing With Love va à cent à l'heure
et le duo Stephen-Anita est tout bonnement parfait.
Voici exactement le genre de comédie d'action délirante que
seul HK peut nous offrir : le film mixe très habilement action, espionnage,
parodie et humour et un petit peu de romance. Les scènes d'action sont réussies, allant de la fusillade aux scènes parodiques de Wu Xia Pian (Stephen Chow se déplaçant avec un hachoir à viande dans le dos, prenant
des mimiques et récitant sa philosophie de sabreur comme dans les grands
classiques).
L'humour
fonctionne ici à plusieurs niveaux. Les parodies concernent bien sûr
les James Bond, avec un pistolet d'or, la visite du quartier général
avec les démonstrations de gadgets, le générique hilarant,
et une personnage avec des dents en métal. Mais aussi d'autres films
HKgais, notamment C'est la vie mon Chéri. Enfin, beaucoup de scènes humoristiques délirantes, avec notamment les fameux gadgets,
ici complètement loufoques (la torche solaire, les sèches cheveux
et rasoirs, les pistolets...). La réussite de ces scènes comiques
tient pour beaucoup à Stephen Chow bien sûr, et aussi à
Anita Yuen, qui me fait craquer comme d'habitute. Entre la scène où
elle essaye les pistolets à Stephen et celle où elle lui extrait
une balle de la jambes, vous tenez deux scènes loufoques cultes.
Anita est parfaite pour jouer ce genre de rôle, entre humour et une
petite touche de sérieux pour les scènes romantiques. Stephen
est assez dantesque, passant du boucher au pseudo James Bond aussi facilement qu'il séduit la pauvre Anita. Quel tueur... De plus, non seulement son humour non sensique est ici parfaitement utilisé, mais son côté idiot séducteur fonctionne aussi. Neuneu certes, mais neuneu touchant comme pourrait le confirmer Anita. J'aime bien ces scènes de mélo très réussies où il lui rapporte des roses blanches ou encore lorsqu'elle l'enlace comme sur la peinture. C'est tout meugnon ça, et ça marche.
Comme
le film dure 1h35, pas de blabla ni de scènes d'exposition, on entre
de suite dans le vif du sujet, et les gags s'enchaînent sans faiblir.
La réalisation conjointe de Stephen Chow et Lee Lik Chi est plutôt
réussie, avec une scène d'action bien réussie au début,
et une photo très correcte. Au niveau du casting, outre le couple vedette
dont vous connaissez déjà les prouesses, peu de grosses stars,
mais l'interprétation est correcte. On reconnaît Yu Rong Guang
dans la première scène, et si vous souhaitez des James Bond
girls, vous serez sûrement un peu déçu, mais la scène
dans la villa vont permettra de déguster quelques beautés asiatiques,
de même que Stephen qui n'en perd pas une miette...
Le film ne se promène pas aux quatres coins du monde comme un Bond,
mais ne fait pas fauché non plus. Le principal ici n'est d'ailleurs
pas les moyens mis en place pour impressionner, mais plutôt de faire
rire l'assemblée. C'est chose faite grâce au dynamique duo qui
l'anime. De plus, il arrive à nous livrer des scènes d'action plutôt bonnes et une touche romantique elle aussi réussie. C'est bien du film HKgais de la grande époque et ce qui fait son charme. Autant une comédie parodique américaine peut être aussi réussie au niveau des gags, autant elle n'osera jamais faire passer une romance toute mignonne au milieu. C'est chose faite ici, donc toi fan de comédie pas seulement comédie, empresse-toi de récupérer ce film !
Cela ressemble à James Bond, cela a la couleur de James Bond, mais ... c'est du Stephen Chow
From Beijing with Love est une comédie d'action comme Hong Kong peut nous le faire :
un scénario détonnant, des parodies en veux tu en voilà et un couple d'acteurs très en forme
( Anita Yuen et Stephen Chow).
Coté scénario, il s'agit d'un mélange de scènes d'action classique et de gags plus ou moins gros,
sous l'air d'un film de James Bond, qui est la source d'inspiration majeure. Tout y passe : les combats
comiques, les gun-fight, les quiproquos, les gadgets complètement inutiles inventés par le Q local, …
Les scènes s'enchaînent sans vrai temps mort, servies par de très bons interprètes.
Le spectateur est entraîné dans la tourmente du rire, personne ne peut lui résister. A ne pas manquer
pour qui veut rire de bon cœur
Austin Powers made in HK
Enfin sorti en Zone 2 en France (chez Metropolitan), Bons baisers de Pékin est une comédie parodique efficace qui vaut largement le détour, et qui devrait séduire bon nombre de spectateurs ne connaissant Stephen Chow que pour Shaolin Soccer et Crazy Kung Fu. Si les gags sont inégaux, une bonne moitié parvient cependant à faire mouche en provoquant de francs éclats de rire ("Vous pensez que c'est un sèche-cheveux? Eh bien non, c'est un rasoir..."). Stephen est par ailleurs irrésistible en antihéros monocorde dont la classe n'a d'égale que ses maladresses et sa naiveté, tout en n'hésitant pas à invoquer des scènes très sanglantes ou très en dessous de la ceinture - qui ne sont malheureusement pas parmi les plus réussies.
Sans doute la meilleure parodie qu'il m'ai été donné de voir
Une merveilleuse parodie de la saga James Bond. Une comédie durant laquelle on ne s’ennuie pas un seul instant, une suite merveilleuse de gags en tous genres et de combats hilarants… Des scènes à se tordre rire : entre les armes secrètes idiotes, les gun-fight, les quiproquos, pas un moment de répit : l’idéal pour passer une agréable soirée.
Excellent
Parodie de 007 de très bon niveau, mais aussi plus que cela avec un Stephen Chow roi du non-sens et pourtant plein de tendresse et très bien épaulé par Anita Yuen. Un film qui mérite mieux que le statut de parodie et qu'il faut voir pour lui-même.
24 septembre 2003
par
jeffy
un début inégal pour Chow Sing Chi réalisateur
S'il ne laisse en rien augurer que Chow Sing Chi deviendra un réalisateur hongkongais solide, From Beijing with Love est un début acceptable derrière la caméra. Au positif du film, quelques gags délirants et réussis: le générique bondien loufoque, les scènes des Regent Hotel et Motel, les gadgets bondiens loufoques, les passages dans la résidence de luxe des gangsters, la cravate arc-en-ciel de notre agent secret, la guérison de sa blessure, le percutage de la porte en verre, l'exécution. La mise en scène est également correcte. Pour le reste, la présentation du personnage de 007 et les passages de recrutement bondiens (et tous les passages militaires notamment le dialogue sur Jurassic Park) sont d'un mortel ennui, le gunfight du début ne suscite ni rire ni jubilation, l'humour noir (les lancers de couteaux, les dépeçages babycartiens au hachoir de OO7) ne fonctionnent pas et l'armure de l'homme à abattre suscite plus la consternation que le rire par son coté cheap. Il reste donc encore dans le film en nombre non négligeable quelques lourdeurs que ne renierait pas Wong Jing. Malgré tout, le film fait dans l'ensemble passer un bon moment et est idéal pour de longues soirées insomniaques et arrosées.
S'agit-il seulement d'une parodie ?
Certes la mythologie James Bond est ici détournée ( Q devient Master S, l'homme aux dents d'or, le QG secret, la boisson, la scène d'amour finale ... ) mais il ne s'agit pas uniquement de faire rire ( même si le film y parvient merveilleusement ). En effet, From Beijing with love s'avère d'avantage un hommage au personnage de 007. Ainsi le générique de début est très soigné et reprend la chartre graphique de la série James Bond ( à l'instar de Forbidden City Cop ) mais en y incluant qu'un seul et unique gag final. De plus, le film ne se prive pas pour ajouter une réelle dimension dramatique ( Massacre vraiment poignant d'un père devant son enfant )ainsi que des effets gores des plus réussis ( la punition façon Butcher's Knive ). L'interprétation est bien entendue excellente, Chow fait son show dans un de ses meilleurs rôles ( pas de grimaces, un jeu tout en retenu ).
N'omettons pas de préciser que le film est également une source inépuisable d'inventions de génie comme la première lampe à energie solaire ( ça va faire un carton ) ou encore l'"arme ultime" qui fusionne neuf armes diffèrentes ( en fait, toutes mises dans un sac à patate ! ).
Notons enfin que l'humour est ici basé sur l'absurde et le non sens ( le meilleur aspect du comique de Stephen Chow ) et non pas comme dans Austin Powers avec humour pipi caca. Une comédie qui ne prend pas le spectateur pour un ado en mal de scatologie, cela devient de plus en plus rare.
Cette parodie de James Bond, possède entre autres qualités, un rythme assez bien géré, un humour relativement efficace mais auquel je n’adhère qu’en partie et des scènes d’action trop classiques.
20 juillet 2024
par
A-b-a
J'aime pas du tout.
Sans être une grande spécialiste des James Bond, je préfère vraiment un James Bond. Et comme j'ai pas ri dans le contexte de parodie supposé faire rire ... et que j'ai pas aimé le côté sanguinolent, il ne reste que quelques scènes où Stephen Chow et Anita Yuen sont amusants ou attachants. Mais ça fait pas bcp.
Je dois quand même reconnaître que les blagues cantonaises de Stephen Chow dépassent mon niveau linguistique et donc je dois avoir du mal à apprécier cet aspect des choses. Voilà, pour la petite histoire, le titre en chinois est déjà bien plus marrant qu'en anglais :
國產凌凌漆 sachant que 凌凌漆 ne signifie pas 007 mais est homophone de 零零七 qui lui signifie 007.
nul nul nul
une parodie ratée qui fait déclenche le rire qu'à de trop
rares moments .Reste les acteurs qui sont sympatiques.
My name is chow, stephen chow
Après un générique qui commence dans le pur style bondien pour finir dans du pur délire HK, le film ne nous laisse que peu de doutes: l'heure est à la parodie pleine de références, et à l'humour outrancier!
L'influence des wu xia est bien marquée avec l'introduction de Stephen et son look de rebelle et sa manière de s'exprimer et d'agir. D'ailleurs son personnage est un clin d'oeil à lui tout seul à bon nombre de films hong kongais et autres, tout en nous renvoyant à Stephen lui même, ce qui fait qu'on est en terrain connu dès le départ et qu'on s'attache vite à lui.
A ses côtés on retrouve Anita Yuen (je m'inquiète pour elle, serait elle anorexique? Au fait, combien mesurent ses cheveux dans ce film? ça pourrait faire un bon sujet de conversation!) dans un rôle classique (parodie des bond oblige).L'alchimie entre elle et Chow fonctionne assez bien . L'humour est bien sûr très présent et le côté culloté de certains passages fonctionne à merveille. On est vraiment dans l'humour outrancier hong kongais.
Les scènes d'action sont courtes mais fonctionnent bien car elles sont en phase avec le récit, de part leur construction et leur style. L'histoire n'est bien sûr pas des plus originales, mais elle entretient ses effets de manière à ce qu'ils ne soient pas redondants et alterne bien humour, action et émotion. On a également le plaisir de revoir quelques têtes connues, bref on ne se sent pas perdu et c'est un plus.
Conclusion: Donnez plus de temps de présence à Law Kar-ying, bon sang!
Ch0w Ch0w Sept
Si les débuts de certains derrière la caméra se sont avérés fracassants (Orson Welles, John Huston, Quentin Tarantino), d'autres connurent des premières expériences moins heureuses en tant que réalisateurs avant de laisser apparaître leur génie dans ce domaine (James Cameron, Hou Hsiao Hsien, Tsui Hark). C'est sans crainte que l'on peut rapprocher l'avènement du Stephen Chow cinéaste du côté des gagnants, quand bien même sa parodie du mythe 007 n'a pas encore la truculence parfaite de ses derniers films en date. Dans
Bons Baisers de Pékin se manifeste plus que jamais l'esprit loufoque du comique hongkongais, cortège de séquences burlesques – lesquelles se substituent à un véritable scénario – à l'appui. Malgré un ou deux gags poussifs, cette pantalonnade assumant son délire jusqu'au bout constitue une belle réussite, étayée par le charisme du couple Chow Sing-Chi - Anita Yuen, des saynètes qui font mouche (le coup de l'hôtel -> motel, les lancers de couteau, le pistolet piégé et autres gadgets aussi originaux que d'une prodigieuse inutilité) ainsi qu'une photographie – encore très old school du point de vue stylistique – guère transcendante mais de bonne facture au demeurant. Une franche pitrerie qui ne dupe pas le spectateur sur la marchandise et amuse énormément dans son ensemble. C'est déjà beaucoup, non ?
moyen pour Stephen CHOW mais sympa quand même
bon c'est ses débuts en tant que réal mais c'est pas vraiment convaincant; ça passe quand même et quelques gags sont bien efficaces.
finalement ça ressemble plus à du ciné HK qu'a du James BOND (y a de la violence typiquement hk, des blagues hk, de la zik hk, une photo hk, le tout plutôt cheap, ça se regarde une fois mais ça n'a pas le talent d'un KING OF COMEDY ou d'un GOD OF COOKERY. toutefois en plus de la comédie on a droit à des scènes violentes un peu dures pour le style (rien de choquant mais c'est pas dans James BOND qu'on verrait ça)
ps: on notera tout de même une critique de l'autorité chinoise, notamment de la peine de mort à peine voilée.
hillarant!
voila une parodie de James Bond par Stephen Chow completement déjanté et absurde! des gags a n'en plus pouvoir, des situations vraiment ridicules de la part d'un agent secret (voir les bides qu'il peut se taper comme celui de la malette a ressort qui lui permet de sauter par dessus les obstacles quand il se mange le mur ^^).ca n'arrete pas une seule seconde. vraiment excellent. que du bonheur! a voir absolument! ;=)
My name is Chow, Stephen Chow.
Une action comedy parodiant 007...
D'excellents gags mixés avec de bonnes scènes d'action, et un cast plus que sympathique font de cette parodie une réussite.
Pas le meilleur des Chow que j'ai vu (Shaolin, KFH, et King of comedy), mais vraiment efficace ^^
Assez marrant
Des moments comme celui ou Anita Yuen lui enlève la balle de la jambe rendent le film parfois gore,c'est quand même tres amusant et agréable a regarder!
Humour, action, sensibilité
Un grand moment pour un film sans grande prétention : 1h20 pour boucler l'histoire, c'est peu, on en redemande, mais ça a le mérite de ne pas nous ennuyer au moins. Par ailleurs il y a quelques défauts et le film a beaucoup vieilli, comme souvent à HK.
Ce que je retient de cette aventures c'est un mélange des genres agréable: l'humour et la sensibilité sont bien dosées, il y a aussi beaucoup d'action. En plus le tout n'est jamais vraiment lourd pour quelqu'un qui n'apprécie pas forcément l'humour local.
11 juillet 2007
par
Hotsu
Le permis de rire à tuer.
Une excellente comédie dans la pure tradition Stephen Chow, avec des gags à la pelle, une surprenante succession de scènes d'action très bien chorégraphiées et l'éternelle chassé-croisé amoureux avec la jolie héroïne, cette fois c'est Anita Yuen qui s'y colle.
Ce qui surprend dans ce film, c'est l'ultra-violence de certaines scènes, parfois limite gore.
Encore un grand Chow.
Comme une lettre à la Poste
S'il n'est pas pour moi le meilleur Chow, ce film n'en est pas moins une bonne comédie parodique, et mérite de figurer au palmarès de ses réussites.
Stephen Chow se montre parfois un peu moins inspiré ou tout simplement plus soft et posé que dans God of Cookery par exemple, mais le film reste maîtrisé et se suit avec beaucoup de plaisir.
On est cependant souvent un peu loin de l'univers de Bond. La classe et le flegme britanique de 007, ainsi que son luxe de jet-setteur un peu désuet sont ici souvent relégués au profit d'un traitement ou d'un univers plus quotidiens.
Traitement appuyé par une certaine volonté de faire dans le comico-sanguinolent, ce qui nous éloigne encore un peu plus de l'univers BD, voir kitsch de James Bond.
Néanmoins, From Beijing with Love risque de convaincre certains réfractaires aux habituelles surrenchères comiques et rythmiques de Stephen Chow, le film se montrant finalement plutôt léger, utilisant souvent un humour en demi-teintes (ce qui explique que certains percoivent les gags comme parfois ratés ou pas aussi comiques qu'ils auraient pu l'être).
Pas ou peu de scènes anthologiques ni de moments de bravoures ultra-mordants en perspective donc, comme c'est souvent le cas dans ses autres films, mais l'assurance de passer un bon moment, devant ce qui reste avant tout une parodie-hommage pleine d'estime et de respect pour les oeuvres originales (ça se sent), qui laisse une sensation agréable et un petit sourire au coin de la lèvre. Mérite incontestablement d'être vu.
26 décembre 2002
par
Jemo
Une parodie qui ne fait pas beaucoup rire!
Le point faible de ce film ce st ses gags : trop peu st réussis ,je n'en ai apprecié que 3 : la scène ou stephen
réclame une pute "locale" , lorsque anita essaye de tuer chow, et l'exécution vraiment poilante.Cela fait 15min sur
un film de 100 min c light!
L'autre défaut et la dimension gore du film: stephen a voulu
imiter les monty python mais on ne retient que le mauvais goût de la mise en scène.
Au final un film assez ennuyeux et largement surestimé.
l'oeuvre la plus maitrisée du Stephen Chow premiere phase
C a d quand il se contentait de gags, de parodies, sans investissement personnel. Peu de temps morts, de parasites aux situations burlesques, maitrise quoi.
Mouais, c'est pas hilarant, mais on passe un bon moment.
En gros, heureusement qu'il y a Stephen Show pour assurer le rôle principal sinon ça serait une catastrophe je pense...
Il m'a bien marré sur le coup de la clope collée à la lèvre quand il jouait du piano, j'adore ses cravates benetton également :D
Voila, sinon le reste de cette parodie est plus que classique, pas d'originalités au niveau de l'histoire, mais bon c'est une recette qui marche, et Stephen Chow l'a compris mieux que quiconque à HK.
C'est pas vraiment le film que je recommanderai, mais pourquoi pas ?
à ne pas rater
Qu'on soit fan de Stephen Chow ou pas, si on aime les comédies, ce film est forcément à voir.
On retrouve Stephen Chow dans une comédie plus stupide que jamais (mais, il faut jamais dire jamais), une espèce de parodie des james Bond. Si vous n'arrivez pas à croire qu'un boucher pourrait être agent secret, ce film vous le démontrera par a+b.
Les dialogues sont complètement délirants, les scènes encore plus (surtout les scènes d'action).
Au niveau des acteurs, je ne connaissais personne à part Stephen Chow, mais j'ai découvert Anita Yuen qui joue vraiment pas mal (mais pas au niveau de Stephen Chow : eh oui je suis un fan).
Donc, vraiment un film à voir si le coeur vous en dit.
My Name is... Chow...Chow Lapin
Vu il y a longtems dans des conditions misérables (copie VHS du VCD à deux heures du mat'), le film m'avait fait sourire mais sans plus. Plus de 5 ans plus tard, un deuxième visonnage dans d'excellentes conditions (en vacances, DVD) me permet de relever la note et d'écrire une vrai bonne critique de ce film.
Bons baisers de l'homme au pistolet de diamant qui ne meurt que deux fois
Délirant, non-sensique, rythmé,
From Beijing With Love est une parodie décalée de James Bond. Outre le fait que notre héros (Stephen Chow) ne se sert que de son fidèle et indestructible couteau de boucher pour fendre ses ennemis en pièce, on a le droit à toutes sortes de gags mais aussi à une petite critique à peine voilée des travers de la Chine (corruption quand tu nous tiens...). Mention spéciale à la scène de l'éxecution particulièrement folle et à celle de l'extraction de balle qui parodie
the killer de John Woo (qui sera de nouveau parodié dans
King Of Comedy avec la scène de l'église).
Une très bonne comédie, une de plus me direz vous (vous dites tellement de choses = ), au palmarès de Sir. Chow.
Rien que pour la performance d'Anita Yuen, Le film vaut le coup d'être vu (elle est trop mimi avec son gros sparadra sur la tête). Sinon c'est une parodie de plus de l'univers de 007 (avec la particularité que le héro est un boucher et se promène toujours avec son gros couteau comme arme).
Chow Sing-chi et Lee Lik-chi ensemble à la réalisation, ça cartonne !!!
C'est probablement un des Chow Sing-chi les mieux réussis. C'est un coktail détonnant parodiant autant les films américains que les films Hong-kongais. Et attention les scènes d'action déménagent. On passe d'un humour potache à des scènes très violentes, voire gores. Il y a une scène d'action décalquée sur Bodyguard from Beijing très réussie et une autre dans un centre commercial d'une intensité supérieure à ce qu'on peut voir dans la plupart des polars purs et durs. De plus contrairement à bcp de Chow Sing-chi, ce film s'adresse aussi au public occidental. Il y a moins de jeux de mots cantonais et plus de gags visuels. Que dire, c'est hilarant et les acteurs sont tous au top. Amateurs d'humour ou de gunfight électrisants, vous serez tous bien servis. Il y a même une touche de tendresse comme Chow Sing-chi sait si bien les faire. Au vu du générique final certaines scènes ont du être supprimées, je pense notamment à une explosion qui ne doit pas faire partie des ratés ou alors ils sont vraiment fous ces chinois !!!
Le meilleur Stephen Chow jamais réalisé jusqu'à présent. C'est THE parodie OF THE WORLD!!!
Que dire sur ce film?!
84 minutes de bonheur en perspective, du générique (à se tordre de rire) jusqu'au duel final.
Non suffisant de nous faire rire, ce film contient quelques scènes d'actions de trés bonnes factures.
Il est vrai que certaines scènes sont d'une extrèmes barbaries (voir l'extraction de la balle au couteau de boucher et le carnage du centre commercial par exemple) mais elles permettent de pimenter le film qu'il faut bien sûr prendre au second degré.
Chow nous prouve une fois de plus son titre de king of comedy et tout ça pour notre plus grand plaisir.
mort de rire.
Du grand art mes amis. Ce film est vraiment très drôle et ce dès le générique. Les gags s'enchaînent à une vitesse halucinante, ils ne sont pas tous drôles bien entendu mais ne sont jamais consternant comme peuvent l'être la plupart des gags d'un Wong Jing par exemple.
Il ressort de ce film une flopé de situations cultes et irrésistibles comme lorsque Anita Yuen tente de tuer Stephen avec son pistolet, ou la scène de l'exécution, ou la scène de la valise magique, ou encore celle où Anita tente d'enlever la balle de la cuisse de Stephen qui se sert d'un film porno comme anesthésique!
Stephen Chow et Anita Yuen forment un duo qui fonctionne à merveille et il suffit parfois de simplement regarder Stephen pour se marrer (comme l'imitation de Jackie Chung au piano). Même la musique est sympa.
Bref, un joyeux n'importe quoi qui m'a rappelé avec bonheur l'esprit délirant et sans retenue des Monthy Python (s'en les égaler biensur).
pas mal
vague parodie de james bond pas mal, quelques tres bonnes scenes comme lorsqu il veut une pute locale et le travesti se met a genou, et lorsqu il sauve sa peau en payant le militaire et une cigarette par soldat...
22 septembre 2002
par
yves