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Guinea Pig 5: Android of Notre Dame
les avis de Cinemasie
2 critiques: 0.62/5
vos avis
1 critiques: 1.5/5
Un Guinea qui n'a de Guinea que le nom.
Sur un pitch finalement assez déroutant, Androïd n'est qu'une prétexte à aligner sur 50 minutes des scènes plutôt barrées à défaut d'être maitrisées. Il faut voir la tronche du savant fou, doublé d'une manière assez peu orthodoxe au niveau de ses expériences pour se rendre compte que ce Guinea se fiche un peu de nous.
Chainon grotesque
Sans doute l’un des épisodes les plus faibles d’une série déjà très bas de gamme. Partant d’un pitch ultra-grotesque où un scientifique nain spécialisé dans l’ADN recherche le « chainon manquant » (rien que çà) pour sauver sa sœur d’une maladie du cœur, en tapant sur le clavier de son ATARI avec un doigt et en balançant à haute dose du courant sur l’œil, la langue et l’oreille d’un cadavre féminin (dont l’actrice respire…), Guinea Pig 5 fait très fort et sabre tout effet réaliste ou crédible d’entrée. Seule l’apparition d’un Taguchi Tomoro décapité dont on a cablé la tête à un ordinateur constitue un mince intérêt, avant que l’épisode ne foire lamentablement sa chute. Il faut le voir pour le croire…
Plus bossu que notre dame
Changement de réalisateur avec l'arrivée de KURAMOTO Kazuhito sur cette nouvelle "aventure". Continuant dans la droite lignée du précédent, il pousse toujours plus loin la fiction autour des moments gore "attendus"; soit un nain, fou des expérimentations en tous genres pour secourir sa soeur mourante.
La violence et le côté répugnant sont de plus en plus désamorcés devant le ridicule de situation, le cabotinage des acteurs et l'intrigue totalement ridicule; en revanche, l'intérêt final reste toujours aussi limité n'ayant que pour seul but que de donner dans la surenchère d'effets spéciaux. Corps découpés en gros (pour assassiner), puis dans le détail (pour prélever un oeil, une oreille ou une langue), remous d'entrailles à même le torse fraîchement ouvert et autres décompositions accélérées étonnent par la méticulosité du détail, mais finissent - comme d'habitude - qu'à ne soutirer qu'un fatigue bâillement; à moins d'adorer voir exhibés des entrailles ou s'intéresser de près à la réalisation de tels trucages.