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La Bête de guerre

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les avis de Cinemasie

2 critiques: 2.75/5

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Ghost Dog 1.5 La roue tourne...
Arno Ching-wan 4 Tank U la balayette
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Tank U la balayette

Rhaaa l’aut’eh, des fiches sur l’Afghanistan à CinemAsie ! Asie centrale, c’est bon. ‘tain, on va avoir des fiches sur des films d’Ouzbékistan bientôt. La classe. Waï note. Du coup je zieute direct si k’on a « La bête de guerre » de Kevin Reynolds dans la base, ce film de malade avec des ruskofs encore plus malades qui se mettent sur la tronche avec des afghans dans le désert. Matos des russes : un tank. Matos des afghans : le RPG - prononcer [èrpiji] -, ses quelques rares rockets et... des femmes. Bref, oui, donc on a bien ça dans la base.

Ca remonte à un baille la dernière fois où je l’ai vu çui-là mais m’en souviens très bien. Culte pour plusieurs raisons. L’intensité des relations psychologiques entre les soldats russes, bien vues pour qui a fait l’armée, ridiculise les engueulades des colibris hystériques Denzel Washington et Gene Hackman dans leur sous-marin USS - sweet home - Alabama. The Beast est tiré d’une pièce de théâtre de William Mastrosimone (merci à Google pour le nom), ceci explique sans doute cela. Ce qui n’empêche pas ce film dit « de guerre » de regorger de scènes d’action furieuses, des poursuites mémorables et autres violences qui ne feraient pas tâche face à cet afflux gore dont nous sommes actuellement les victimes consentantes. C'est le cas d’une des scènes les plus insoutenables qu’il m’aient été données de voir, celle pendant laquelle un homme encore vivant se fait écraser tout doucement par la chenille dudit tank, dans le sens de la longueur et en commençant par les pieds. Ignoble. Tank you Mr Reynolds pour cette péloche de maboul, réalisateur dont, et j'en parle en passant, le très bon Fandango, titré bêtement chez nous Une bringue d’enfer, est le film préféré de Mr KITAMURA Ryuhei (Versus). On nous y raconte l’histoire d’une bande de potes avé l’autre Kevin dedans. Le Costner. Cette œuvre là permet de lier un peu plus Kevin Reynolds à John Milius, monstre sacré avec qui il avait écrit le scénario de l’Aube rouge, grâce à cet autre très bon film de ce dernier, également axé sur une bande de potes, Big Wednesday, alors tout autant salement titré Graffity Party dans nos joyeuses contrées. 




 

08 mai 2008
par Arno Ching-wan


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