Un des plus anciens Jackie Chan... Oulaaaa.
Voici donc l'une des premières apparitions de Jackie et... c'est pas gagné. Il joue un jeune loubard qui semble à peine savoir parler (et jouer) avec un superbe poireau sur la joue qui lui sied à merveille. Il n'est que second rôle puisque c'est le J.T.D. (Jeune Taxi Dynamique donc), Charlie Chin, qui va tenter de remonter le mystère de la jeune fille échouée sur sa banquette arrière. Avec beaucoup d'indulgence et d'amour pour Jackie, ce film pourra peut-être passer mais c'est très très mauvais, n'en doutons pas. Les combats peu nombreux sont réglés par Jackie et font bien pâle figure. Mais le côté rix sans foi ni loi de l'ensemble, les méchants dealers odieux avec les femmes, l'ambiance urbaine à HK et le background social de l'époque apportent une touche particulière qui change des kung fus old school habituels de Jackie. A découvrir avec énormément d'indulgence ou un peu de curiosité.
Quant au titre Police woman, il est dû à la présence de la kung fu cop woman, soeur de la victime, qui va aider le JTD à y voir clair dans son investigation.
les 0.25 points vont pour le magnifique poireau. 
En fouinant dans la filmo 70's de l'ami Jackie je retombe sur quelques perles comme celle-ci. Je l'avais acheté en VHS dans la "collection Jackie CHAN" qui resortait entre autre toute ses collaborations douteuses avec LO Wei.
Concernant le film en question, je n'ai même pas tenu jusqu'au bout, je suis allé ramener la K7 au magasin où je l'avais acheter et même réussit à me la faire échanger contre un autre film de cette fameuse collection. Il n'y a pas de quoi être fier, mais je suis encore traumatisé par cette prestation d'un jeune Jackie affublé d'un horrible poireau (récupéré plus tard par Dean SHEK dans les kung fu comedy de l'ami Sammo). La destruction d'un mythe!!!
Le jeune tigre a perdu ses rayures...
Voila un film d'exploitation bien médiocre, ce polar/kung-fu est un pur produit vite fait, mal fait des 70's.
Issu des studios Golden Harvest, ce concentré, de violence, de drogue, de faux raccords et d'acteurs pas très convaincus par le projet, se laisse suivre une fois et mérite une petite séance.
Voir Jackie Chan en bad guy façon
orange mécanique de supérette est assez jouissif surtout lorsqu'on connait la suite de sa carrière (ironique n'est-ce pas ces retournements de situations moraux permanent?).
Charlie Chin, compagnon récurrent de la bande de zigoto des films de Samo Hung au début des années 80 (le roméo), joue ici le rôle principal et assure le minimum syndical: quelques mimics et un peu de combats.
Si vous n'avez VRAIMENT rien d'autre à voir jetez un petit coup d'oeil sinon passez le chemin.
Hilarant!
Je suis étonné que personne n'ait compris que "rumble in hong kong" était une comédie. Comment ça c'est un film sérieux?
Vous allez me faire croire que la grosse tache de Jackie est censé lui donner un air de loubard pour de vrai? Vous allez me faire croire que les pattes d'eph de Charlie Chin c'est pour faire beau? Vous allez me faire croire que le scénario est censé être trépidant?
Non, je n'y crois pas plus qu'au père noël, "rumble in hong kong" est bel et bien une comédie. Il n'y a qu'à voir ce pervers de Jackie s'amener avec son air sournois (marrant comme sa ressemblance avec Dean Shek ressort avec sa belle tache noirâtre) pour comprendre pourquoi il a eu recours à la chirurgie.
Face à lui, Charlie Chin, moins à l'aise que dans les films comiques, ne s'en sort pas si mal, et reste relativement crédible. Les combats, finalement peu noombreux, se veulent brutaux et secs, mais sont trop mous pour restituer l'ambiance sombre des combats de rue.
A voir par curiosité et pour rire un peu.
Faut bien commencer par quelque chose...
Autant le dire tout de suite : Jackie n'a qu'un rôle d'homme de main, Juste fonctionnel.
Le personnage principal échouant au sympathique Charlie Chin ("Le Gagnant, Le Flic de Hong Kong 1 et 2").
Le casting est on ne peut plus acceptable contrairement au script qui n'en finit plus de s'étirer offrant des combats et autres poursuites en boîtes à savon indigent.
09 septembre 2020
par
A-b-a
