Eeeeeh, il veut quoi Cat Leo Deh?
Mais c'est quoi ça? Cat Leo n'aime pas quand on aime pas un film qu'il aime alors qu'il faut aimer a tout prix deh! Tchiiiiiiiiiiiiip Jonathan doudou asia a raison hein:
Rigor mortis, ça a ete fait avec les pieds hein!
Je vais vous dire toute la vérité sur Jonathan-asia
Vous vous êtes peut être déjà demandé quel système de notation farfelu utilisait jonathan asia pour ses critiques. Je dois avouer que ce fut une énigme pour moi aussi. J'ai donc décidé de l'étudier (je suis moi-même biologiste, et j'ai pour habitude de disséquer des rats vivants pour toutes mes expériences) en détails. Comme nous avons pu le constater par le passé, JA (nous l'appellerons désormais ainsi, par souci de temps) a pour réflexe d'assassiner toute oeuvre ayant le malheur d'inscrire sur son générique le nom de Wong Jing (que ce soit en tant que réalisateur, scénariste, ou même producteur), sans aucun respect pour la passion de ce bon Monsieur. Sa critique de Rigor Mortis nous révèle aujourd'hui qu'il adopte une attitude similaire (entendez tout aussi puérile) à l'égard de Juno Mak. Car selon lui, une popstar ne pourrait prétendre à des ambitions artistiques élevées dans le monde du cinéma. Peut-être JA n'a-t-il jamais eu l'occasion de voir des personnalités telles que Aaron Kwok crever l'écran dans Anna Magdalena, ou encore Andy Lau dans Boat People. Peut-être croit-il encore que seuls des noms respectés par les hautes sphères méritent qu'on prête attention à leur travail (encore que je me rappelle avoir lu qu'il s'était endormi au cinéma devant the grand master, tout en prétendant être fan de cinam de hong kong).
J'aimerais donc rétablir la vérité, et vous avertir de vous méfier des élucubrations de JA, car c'est bien la haine qui parle lorsqu'il s'en prend à Rigor Mortis.
Ennui cadaverique
Sacrée déception en ce qui me concerne. Entre une réalisation tape a l’œil ( et vas y! Un héros projeté contre un mur, un effet accélération-ralenti-accélération; et vas-y des ralentis pendant des combats...) et aucun personnage attachant mis à part celui de Feng, je me suis franchement ennuyé. Un grand n'importe quoi malgré quelques bonnes scènes et une photo incroyable (travail de couleur gris très bon). Bon, ça fait quand même plaisir en 2014 de revoir Chung Fat & Richard Ng.
Le film se la joue artisto-torturé mais ça tombe complètement à plat et se vautre dans le ridicule. Tout ça pour ça!