il est né avec son slip
Très honnêtement, il y a bien pire. Même si on peut lui reprocher des tas de trucs, il y a quand même du potentiel et certaines scènes d'action valent bien le détour. L'histoire est totalement nulle, mais si on part de ce principe, la moitié du ciné HK est à jeter. Par contre, le crétin est vraiment trop agacant, en plus de servir à rien. Sinon, j'ai beaucoup aimé l'idée sur le combat final, et aussi le fait que le film ne fait pas dans la surenchère. Enfin, bon spectacle, et en plus certains passages m'ont bien fait rire.
23 novembre 2005
par
Elise
C’est ça l’hommage français au cinéma asiatique… ?!! 
Samouraïs est soi-disant réalisé par un fan français de ciné asiatique, pour lui rendre hommage ; c’est plus à WONG Jing des mauvais jours qu’il a rendu hommage qu’à YUEN Woo-Ping et consort des grands jours.
L’histoire est pourrie et je n'ai même pas envi de la résumer donc passons à la suite.
La réalisation est fumeuse et remplie de mauvaises idées, le début du film se passe au Japon puis l’action se déroule à Paris ; déjà il faut savoir que tous les Japonais parlent français apparemment, il faudrait que j’y aille en vacances car il n’y aura pas la barrière de la langue comme ça… Ensuite nos 2 « héros » passent leur temps à parler verlan, pour n’importe quel mot, ça ne passe pas du tout et c’est tout sauf naturel. La musique de KAWAI Kenji (ce n'est pas possible que ce soit lui qui l’ai faîte) est complètement banale et mal adaptée.
Bon, parlons des combats chorégraphiés par Philip KWOK Chun-Fung, il y en a 3 de sympas et 1 qui fait fortement penser au génial final de My School Mate, Barbarian. Pour les affrontements sympas, il y a cette longue scène dans le gymnase entre Pascal Gentil et ses ami(e)s combattant(e)s contre les gardes du corps du méchant de service. Cette séquence est longue, les protagonistes savent vraiment se battre et c’est bien là le seul intérêt de ce long métrage. Puis il y a la scène dans les toilettes de l’aéroport et dans les escaliers de l’immeuble avec KURATA Yasuaki, et c’est tout !
Pour le combat final, je vous passe les détails mais si vous avez aimé celui gigantesque de My School Mate, Barbarian, vous idolâtrerez celui de Samouraïs qui est ENORME.
Il faudra quand même qu’on m’explique comment on peut faire un mauvais film avec Kenji Kawai à la musique, Philip Kwok au combat et Kurata Yasuaki ainsi que Pascal Gentil au casting ; en tout cas une chose est sûre, un futur grand mauvais réalisateur est né.
Essayez au moins de voir les combats, trouvez-vous un ami qui le loue (le fou) ou qui l’achète (incurable), regardez les séquences de fight (pas le reste du film surtout !!) et partez en courant de chez lui car il ne doit quand même pas être super net pour louer ou acheter un tel film ;-).
01 juillet 2002
par
Junta
Un potentiel bêtement gâché
Les incursions françaises dans le cinéma de genre (kung fu, fantastique) sont suffisamment rares pour être si bêtement gâchées comme dans ce Samourais. Il y avait pourtant un certain potentiel qui, s’il avait été mieux utilisé, aurait au moins pu donner un honnête petit divertissement : la première demi-heure se déroulant au Japon est assez réussie, baignant dans une photo de qualité et mettant en place un scénario qui, à défaut d’être original, avait le mérite d’être assez cohérent. Côté casting, mise en scène et effets spéciaux, on sent par ailleurs que les moyens financiers sont là : les quelques scènes d’action chorégraphiées par Philip Kwok ne sont pas si ignobles qu’on veut bien le dire, et quelques jolies noms sont venus se greffer à l’équipe comme Kawai Kenji ou Kuruta.
Quelle mouche a donc piqué les responsables du projet en choisissant 2 débiles profonds pour incarner les personnages principaux qui vont affronter le démon ? Le premier, Nadil, est insupportable de bout en bout avec son flot de paroles faussement « banlieue » et les clichés qu’il véhicule à la pelle (petite frappe des quartiers avec son scooter et ses combines « relou ») ; quant au deuxième, Marco, il n’est pas crédible une seconde en 2be3 zonard adepte des arts martiaux et des jeux vidéos. Un choix incompréhensible qui se vautre dans la médiocrité et le pathétique, et qui ruine au passage les prétentions d’un jeune réalisateur motivé à l’idée de diversifier le cinéma de son pays. Vraiment dommage.
Un ratage complet
Pourtant il y avait du beau monde : Philip Kwok pour les choregraphies, Kawai Kenji pour la musique, Kurata Yasuaki (vu contre Jet Li dans Fist Of Legend) et Pascal Gentil (champion olympique tout de meme) comme combattants! Au final, le film est completement raté pour plusieurs raisons: le scénario est completement ridicule, Kawai est sous exploité et surtout les 2 heros sont très très énervants! Ne perdez sutout pas votre temps en regardant ce film !!!
... Près de 25 ans après "Bruce Lee contre Superman"... Enfin la suite! Depuis le temps qu'on l'attendait... Mounir San, le retour...
Le meilleur moment du film: le combat du policier contre le démon japonais dans les chiottes. Vive la région parisienne! Vive le neuf trois! Vive PARIS PLAGE! Vive PARIS 2012, même si c'est Londres qui aura les jeux.
Naze...
Ca s'engageait mal, diffusion sur M6 en 2è partie de soirée, mauvaises critiques,... Bon je lui ai quand même laissé une petite chance. On peut jauger du niveau très rapidement, le démon s'appelle Codévi et ressemble aux monstres en plastique de Buffy, l'héroïne est une clone de Marjolaine et le lascar de banlieue est la pire caricature jamais vue au cinéma. Certains combats sont pas trop moches, on retrouve l'acteur charismatique de Fist of Legend, mais le mélange (SF, jeux vidéos, arts martiaux) est plus qu'indigeste. Au passage je crois avoir vu le clin d'oeil le plus pourri qu'il est possible de faire (la pancarte avec John Woo écrit dessus).
En conclusion tout n'a pas été vain, le film est un ratage complet mais bon une partie de l'équipe du film a pu aller se balader au Japon sans trop se fouler, c'est déjà pas si mal.
2 scenes de combats sauve le film du naufrage.
scenario nul samourais est aussi un film nul. 2 scenes sauvent le film du sinistre,dans la salle d'entrainement(le dernier combat cablé )et dans les toilettes de l'aéroport. le reste poubelle ce film aurait pu etre "samourais" the"ultimate navet"
21 décembre 2002
par
jeff
Histoire d'une daube infame... ou comment j'ai perdu 1h30 de ma vie...
Franchement je dois dire que ça a été un choc. Je n'attendais pas grand chose de ce film quand un pote m'a proposé d'aller le voir avec lui (je me suis dit, après tout un pop corn movie français avec un arrière goût japoanais, pourquoi pas, ça peut ne pas être une daube totale)...
Et là ça a été un choc violent : je n'ai JAMAIS autant eu envie de me casser d'une salle de cinéma de toute ma vie.
Pourtant, on voit qu'il y a qq moyens financiers, en tous cas suffisamment pour pouvoir faire un film potable, on a même droit à Kenji Kawai à la musique (mais où sont donc passées ses mélodies si belles ?) et Philip Kwok en tant que chorégraphe des combats : alors là, je me marre quand je vois le résultat... Jean Claude Van damme aurait fait bien mieux, c'est pour dire !
Malgré ça on n'accroche pas et ça, dès le départ.
On a le droit en guise de héros beaugosse de service un jeune premier tout droit sorti du cours Florent qui essaie de caser des "zy-vas" à chaque faim de phrase, histoire de montrer qu'il ne vient pas du 16ème mais qu'il habite bien dans une cité . Le pauvre n'y arrive d'ailleurs pas et c'est pitoyable à voir, tout aussi pitoyable que son jeu d'acteur quand il regarde fixement dans le vide en prenant l'air de réfléchir intensément (je l'ai reconnu, en fait c'est un acteur des FEUX DE L'AMOUR, il a le même regard bovin sur le visage et la même "inexpression")
Enfin bon, tout ça pour vous dire de ne pas aller voir ce film (de toutte façon, il ne passe plus que dans une seule salle je crois)
Samourais ta mère!
Heureusement que j'ai la carte UGC illimité parce que ...Mamma mia!
Ce film est une daube ambulante, les acteurs "zy-va/ta-mère/chez-ouam/meuf-de-la-night" sont à hurler (le héros est une sorte de 2Be3 au rabais), les combats...pfffahahahaahahahahah!....excusez-moi, les combats je disais sont HALLUCINANTS de médiocrité (à se demander s'il ne l'ont pas fait exprès!) et les Japonais lorsqu'ils doivent parler français sont filmés de dos (ben oui, c'est plus pratique!).
Allez, 0.25 pour l'encre et le papier!
Mauvais nul raté décevant raciste abrutissant débile
on pourrait utiliser d'autres synonymes mais tout le monde à compris : fuyez ce film comme la peste. Allez, 0.25 points pour Manu Lanzi qui reste le seul intérêt du film même si il n'apparaît que 5 secondes.
WARNING!!!! Ne pas voir ce film, en aucun cas!!!!
Rien à retirer de ce film... vraiment abominablement nul! Le mot ridicule a dut être inventé pour eux!!! Comment peux on dépenser tant d'argent pour une telle daube???
Et les acteurs.......... Ont-ils fait un casting pour embaucher les plus mauvais afin de donner un aspect Kitch? Peut-être étaient ils tous de la famille du réalisateur (haaaaaa, c'est bon d'avoir du piston): à en croire leur talent proche du néant, c'est tout à fait possible.
La réalisation, la crédibilité du scénario et le jeux des acteurs ne valent rien!! L'intrigue est inexistante et... Je pense que parler de cette grosse m**** est une pure perte de temps!!!
c'est nul, mais par dessus tout malfaisant
Essayons de rester calme et constructif, car ce serait trop beau pour ce film de s'en sortir sans qu'on ait bien décortiqué les mécanismes de sa médiocrité. Samourais, c'est un monument de bétise, de médiocrité a peine digne d'un téléfilm sur la 6. Et pourtant, le script avait certains atouts (peu mais bon). Le réalisateur, qui débute visiblement aurait pu ancrer l'histoire dans le tissu urbain complexe qu'est la cité (chose évidemment éminément difficile), mais non. Il choisit plutot, la tache sus-cité étant visiblement trop dure de se fourvoyer dans les clichés, le rascisme latent a priori pas méchant (vous savez bien, l'image de l'arabe voleur et sympa, l'asiatique qui a un balai dans le cul etc.) dans la lignée des taxi et autre prod. estampillées Luc Besson (meme si pour une fois Besson n'a rien à voir avec cette daube infame). Il aurait aussi pu se focaliser sur le comportement fascinant du gamer thème visiblement au coeur du script, mais la encore, autant céder a la facilité, autant filmer vite fait un petit con qui joue a la PS2 en bougeant les doigts dans tous les sens. On pourrait continuer comme ca pendant des années. C'est pour ca que je passerais, sur les combats, filmés de facon monstrueuse, les dialogues en verlan, un climax tout pourri, des effets spéciaux très spéciaux (qui nous évoquent les pires moments de Mortal Kombat), l'humour affligeant (dans l'aéroport, on voit un mec en train d'attendre avec une pancarte marquée John Woo dessus), des ruptures de ton saugrenues (le film oscille entre la tour montparnasse infernale, versus, ring j'en passe et des meilleures) et ainsi de suite.
Alors on me dira, c'est du pur fun de blockbuster, ca ne vise qu'a divertir et bien non. Ce n'est pas parce qu'un film est estampillé grand public qu'il doit etre dénué de message, jouer sur l'humour gros beauf. Et croyez moi, lorsqu'on entend une salle rire lorsqu'un petit arabe vole dans un magasin, c'est vraiment triste.
Histoire de faire bref.......
ce film est une grosse me.......... rien mais alors rien n'est a récupérer de ce scénarios absolument nul et ridicule, d'un réalisation sans recherche visuel. Des combats mous du genou (salle d'entrainemment) ou comment combattre au ralenti sans effect sur la bobine.
Et l'humour j'en parlerais même pas, bref même a plusieurs le film ne passe pas.
Samourais et le parfait exemple pour détruire la carriére d'icones japonais en un rien de temps!
SAMOURAIS ça DEFOURAILLE 
Quel film, j'en suis resté sur le cul!!
Une musique pechue, des scenes d'action incroyables, et surtout des personnages formidables sur lesquels je me dois de m'attarder!
Ces fabuleux protagonistes refletent l'état de notre société...
L'arabe dont la fourberie n'a d'egal que la stupidité, la laideur et la lacheté.
Le gossebo blanc dont la masse musculaire est inversement proportionnelle a la taille du cerveau, un role sur mesure pour cet acteur plein d'avenir.
La japonaise qui bien entendu se fait violer par un demon dans une scene mythique aux effets speciaux que mon chat n'aurait pas denigré...
N'oublions pas le grand et gentil renoi, qui en digne maitre, expose son corps musculeux et en sueur au centre du dojo pendant que ses disciples se font charcuter par des nyaks en colere.
Enfin nos 2 charmantes petites tetes blondes, qui au final se reveleront etre les sauveurs de l'univers en terminant un jeu NES tournant sur PLAYSTATION 2.
