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3.49/5
La Mante Religieuse
les avis de Cinemasie
5 critiques: 3.4/5
vos avis
28 critiques: 3.63/5
Concentré de Liu Chia Liang, avec ses qualités et ses défauts.
Shaolin Mantis se place dans une période où
Liu Chia Liang se tâte pour quitter la Shaw et produire lui-même ses films. Afin de garder celui qui est un des derniers grands réalisateurs du studio,
Runme Shaw et
Mona Fong, productrice aux dents acérées, lui donnent carte blanche pour ce film ce qui nous amène à un pur concentré de Liu Chia Liang libéré, mais nous prouve une nouvelle fois que les scénarios dramatiques ne sont pas son point fort lorsqu'ils doivent s'étendre sans faiblir sur la longueur.
Constamment pris entre la comédie conjugale qu'il aime traiter et la montée dramatique qui nous vient du récit original, Liu Chia Liang peine à dérouler un scénario qui se veut pourtant bien plus consistant que la moyenne. Cette envie de légèreté, de comédie naïve pourrait-on dire, qu'il ne peut décidément pas mettre de côté, fractionne le récit en deux, avec une première partie assez lourde tout de même (surtout avec Cecilia Wong qui en fait des tonnes en jeune peste gâtée), d'autant plus que maître Liu en oublie de bien installer les noeuds dramatiques nécessaires à la future montée en tension. Ainsi, nous ne savons pas très clairement quelle est la mission de Wei feng (David Chiang), et son batifolage plutôt long avec la jeune rebelle reste assez contradictoire avec l'urgence de sa mission dont l'échec est pourtant synonyme de mort pour ses parents, point dramatique qui le recentre à de trop rares occasions sur sa mission et alourdit la première partie de manière significative.
Plus que cela, le lien qui unit notre couple du jour est aussi peu clair, Wei Feng semblant véritablement tomber amoureux de sa protégée sans que rien ne nous l'indique clairement. Quant à l'ultime final pour le moins expédié de façon fracassante, Liu Chia Liang l'a voulu ainsi, malgré les doutes émis par le scénariste Szeto On, et l'explique simplement : ***SPOILER*** Wei Feng ne peut rester en vie car il apprendrait de gré ou de force aux mandchous la technique inédite et mortelle de la mante religieuse. Il faut donc mieux que son père et lui meurent en héros plutôt que son secret aille à l'ennemi ****SPOILER****. Autant de raisons qui sont assez peu explicitées tout au long du métrage, Liu Chia Liang préférant s'attarder sur une relation emprunte de légèreté et de comédie martiale comme il en raffole, mais aussi et surtout sur ses combats qui remplissent généreusement toute la seconde moitié du film.
Mais lorsque l'intrigue plutôt délayée de la première moitié, pour beaucoup tenue par une bonne performance d'acteur de David Chiang, laisse enfin place aux combats contre les 5 membres de la famille Tian, matchs aller et retour s'il vous plaît, Liu Chia Liang montre à nouveau qu'il est bien le roi des combats old school. Débarque dès lors, et ce jusqu'à la fin, un enchaînement de chorégraphies kung fu pian concoctées au millimètre prêt, qui éclatent à l'écran et nous montrent même un David Chiang comme jamais nous n'aurions espéré le découvrir. Lui qui a toujours eu du mal à être crédible martialement nous prouve clairement dans Shaolin Mantis que le travail paie. Avec l'acharnement de coller aux exigences draconiennes de Liu Chia Liang, confirmé par John Cheung présent sur le tournage, David se montre plus fluide et technique que jamais alors que la mante religieuse parachêve sa plus belle performance martiale. Le passage entre l'aller et le retour où David découvre et apprend cette technique par la seule observation de l'animal en pleine nature ajoute encore à la force d'une deuxième moitié tout aussi Liu Chia Liang dans l'âme que la première, mais bien plus convaincante. Accompagné de l'excellent artiste martial Wilson Tong devant et derrière la caméra, complété par l'énorme Lau Kar Wing au meilleur de sa forme, les très expérimentés John Cheung et Lily Li, et la maitrise de Cecilia Wong acquise à l'opéra, Liu Chia Liang signe une nouvelle fois un festival de chorégraphies qu'il filme avec un soin proche du grand art.
En cela, Shaolin Mantis parvient à recentrer son récit sur la dramatique, grandement aidé par la force de ses chorégraphies, ce qui n'est pas une mince affaire à la vue de cette histoire originale, bien plus approfondie que le tout venant kung fu, mais plutôt cousue de fil blanc.
NB : à noter la petite apparition de Gordon Liu qui ne fait que passer pour un sympathique combat de début de métrage, présence courte plutôt rare pour l'habitué du rôle de héros chez son demi frère Liu Chia Liang. Un caméo aussi dû au fait que la Shaw préférait miser sur la star David Chiang.
Une Mante bien rafraîchissante
Même si cette mante n'a rien de shaolin,
LIU Chia-Liang réussit là un fort bon film avant tout grace au très bon rythme imprimé à l'intrigue pourtant ultra-simplissime. Les combats sont variés, les armes aussi. L'introduction n'est pas génante car empreinte d'un peu d'humour. L'absence de toute logique psychologique dans les personnages permet de centrer d'avantage le film sur l'action immédiate plutôt que de chercher à justifier en permanence l'action par des critères moraux Et dans ce rôle d'homme ne se posant pas de question,
David CHIANG est excellent, ses capacités physiques faisant le reste du spectacle. Les autres rôles ne permettent pas vraiment aux autres acteurs de briller si ce n'est
Liu Chia-Yung lui-même qui s'est un peu mieux servi.
Un bon old school, simple et efficace qui a le mérite de la simplicité.
29 novembre 2004
par
jeffy
Bancal…
Contrairement à beaucoup de films dans le genre, le thème de la vengeance est ici moins utilisé puisqu’il l’est en fait dans les 15 dernières minutes, à vrai dire les meilleures. Chassé du palais du clan Tien et considéré comme un traître, Wei Feng rencontre sur son chemin une mante religieuse qui lui enseigne la technique des poings fléchis qui tuent (non, c’est pas une blague), technique qui lui servira pour mater l’ensemble des maîtres en arts martiaux de ce palais maudit. Mais excepté ce moment intense et original, La mante religieuse est un film peu convaincant et qui a plutôt mal vieilli ; l’histoire d’amour qui occupe la première heure ? Lente et pénible, surtout avec la voix stridente de Lily Li sur la version française. Les combats en famille non-stop durant la demi-heure qui suit ? Sympas et variés, mais on a déjà vu mieux ailleurs et on aurait aimé qu’ils interviennent plus tôt. Le scénario ? Il a le mérite de ne pas reprendre de schémas trop établis, mais la mission de Wei Feng chez les Tien reste vague (envoyé par un chef Mandchoue en espion avec la menace de la mort de ses parents s’il ne revient pas sous 9 mois, il ne pense qu’à compter fleurette et présenter sa copine à ses parents déjà jetés en prison…), et le coup de théâtre final s’avère obscur et douteux.
Liu Chia Liang a alterné durant sa carrière le bon et le mauvais, La mante religieuse en est un admirable et symbolique condensé.
Chorégraphies soignées pour un excellent film d'arts martiaux
Le début du film peut paraître un peu long mais permet de montrer en détail
l'arrivée de Wei Feng (David Chiang) dans la demeure de la famille Tien. Cette
partie se déroule dans un climat de tension, les hommes du clan Tien se méfiant
de ce nouvel arrivant. Même la description de la maison qui comporte plusieurs
pièces remplies d'armes annonce les combats à venir.
Parallèlement, les è entre Wei Feng et Lily (Lily Li) sont plus légères,
cette dernière tombant peu à peu amoureuse de son professeur, avant de finir
par l'épouser. C'est à ce moment là que le clan Tien a la certitude que Wei
Feng est un espion et décide, malgré le mariage, de l'éliminer. La suite devient
alors beaucoup plus sombre avec la fuite des deux époux et la mort de Lily.
Pour pouvoir mener à bien sa mission, Wei Feng va alors inventer la technique
de la mante religieuse afin de contrer la boxe du grand-père. De la même façon
il s'emploiera à trouver une parade face aux autres membres de la famille
(combat dans un espace clos contre celui qui manie une lance pour gêner ses
mouvements, utilisation de bambous coupés contre celui qui se bat principalement
par roulades afin de l'empêcher de se défendre, ...).
Cela dit cet aspect du film n'est pas ce qui intéresse le plus Liu Chia Liang,
car la découverte et l'apprentissage de cette forme de combat sont rapidement
traitées. Il préfère plutôt se concentrer sur les conséquences faites par
la mauvaise utilisation de cette technique. Car Wei Feng en cherchant à tout
prix à remplir sa mission afin de sauver ses parents est responsable de la
mort de sa femme, mais a aussi trahi son pays en aidant finalement les Mandchoues
(qui sont les envahisseurs) à vaincre les rebelles. A ce titre, la fin du
film est alors surprenante et tragique.
Au niveau des combats, ce qui est intéressant c'est que chaque personnage
a une technique particulière (l'un se bat avec une lance, un autre avec deux
épées, ...), ce qui permet de varier les affrontements et les styles de boxe
utilisés. Les chorégraphies sont de qualités et on peut admirer lors du combat
final David Chiang faire une démonstration de la technique de la mante religieuse,
ses avants bras et ses mains se transformant alors en pinces mortelles. Tout
cela fait de La Mante Religieuse un film à conseiller vivement.
22 octobre 2000
par
Ryoga
Agréable
L'histoire n'est ici qu'un prétexte à une succession de combats surtout reléguées à la fin du métrage. Une belle présentation sous forme d'exhibition de la technique de l'insecte éponyme au titre du film et deux combats (moyens, nullement représentatifs de ceux qui suivront) seront les seuls duels avant la quarante-neuvième minute. Néanmoins, durant le reste de "La Mante Religieuse", je ne me suis pas ennuyé. La relation entre David Chiang et son élève devenant ensuite épouse reste assez classique mais divertissante grâce aussi au talent et au charme de l'actrice qui participe également à l'action. Au sujet de celle-ci, l'attente est récompensée par un enchainement de superbes chorégraphies. Qu'il s'agisse de confrontations via diverses et nombreuses armes interposées (la très grande majorité) ou à mains nues (voir mains nues/pipes de la longueur d'une flûte), elles en mettent vraiment plein la vue. La séquence où David Chiang s'entraîne en autodidacte, s'inspirant de la nature est sympa et pas trop longue. En bref, pas le plus consistant des Liu Chia-liang concernant le fond mais un spectacle bien rythmé, au casting efficient (David Chiang, Lily Li, Liu Chia-yung, Tsui Siu-keung en retrait, du beau monde quand même !) et morceaux de bravoure très efficace.
Inégal et bizarre, mais quelles chorégraphies!
Avec son scénario très vague et ses raccourcis,
La Mante Religieuse peut facilement agacer. Surtout qu'il ne se passe pas grand chose pendant les premières 45 minutes. J'apprécie néanmoins l'ambiance du film avec sa grande maison flamboyante, la présentation de celle-ci est bien mise en scène. La suite du film voit enfin l'histoire se recentrer sur la mission du héros et les combats s'enchaînent. Tous de toute beauté et dans l'idée géniaux (il faut affronter chaque maître des lieux aux techniques différentes), on passe un bon moment oldschool !
06 octobre 2009
par
Hotsu
Le film souffre de racourcis scénaristiques qui nuisent à son récit et ses émotion.
Différent
"Shaolin mantis" est un film assez différent de ce à quoi nous a habitués Liu Chia Liang. Surprenant de voir David Chiang héros d'un de ses films pour commencer, connaissant son niveau martial. Et c'est justement l'un des surprises du film: l'acteur y montre sa persévérance, se donnant à fond pour coller aux chorégraphies intenses du sifu, et se révèle très crédible. Moins que dans "the challenger" et "the loot", mais plus que dans tous les films périodes Chang Cheh.
Livrant donc une de ses meilleurs performances martiales, Dave nous gratifie en plus d'une excellente prestation dramatique (ce qui, par contre, est courant chez lui). Jouant avec nuance un personnage intéressant, il n'en fait jamais trop, mais confère l'intensité nécessaire à ce personnage complexe.
Le manque de combat de la première moitié n'est pas dérangeant (contrairement à "executioners from shaolin") car cela permet de faire monter la tension de façon efficace, et rend les affrontements à venir bien plus percutants. La variété est une fois de plus au rendez-vous, grâce à des adversaires aux techniques originales et variées, et des interprètes de talent, comme Norman chu ou John Cheung.
Dès que Dave apprend la technique de la mante (passage surréaliste et fait avec talent) on passe encore à un niveau supérieur, avec des combats bien plus techniques, son personnage choisissant ses armes avec intelligence pour contrer les différents adversaires. Le final contre l'excellent Liu Chia Yung est inoubliable, et se conclut de façon aussi stylée qu'effrayante, en ombres chinoises.
Le final, qui manque peut être un peu de crédibilité, donne un ton unique à l'oeuvre. Très bon divertissement.
La force tranquille de la Nature
Excellent film old school, qui vaut essentiellement par ses chorégraphies hallucinantes (et non-stop) en seconde partie du film.
La découverte de la "technique" de la mante religieuse est un pur bonheur et sans aucun doute l'un des plus beaux témoignages cinématographiques du comment de telles variations inspirées du monde animalier aient effectivement pu naître.
David Chiang n'a jamais été aussi convaincant.
Très chouette malgré quelques défaults (mais ne boudons pas notre plaisir)
Passé un générique très emballant à la trente-sixième chambre (en mieux) et un double combat assez court (comprennant néamoins un caméo sympa de Gordon Liu en combattant qui se bat avec sa tête!) le film se calme et pendant une demi-heure, rien de bien décisif. Enfin, les deuxième moitié démarre et ca ne s'arrête plus vraiment,... jusqu'à une fin pour le moins abrupte.
Les combats sont tous très bons, ni trop courts, ni trop longs, bien filmés (faut aimer les zooms frénétiques mais bon...) et chorégraphié: rien à redire. Quelques scènes particulières viennent plaisemment relver le tout: des combats en ombre chinoise, David Chiang qui imite le mouvement d'une mante religieuse (une des meilleurs idées du films) et une éviscération assez innatendue qui ne détonnerait pas dans les aventures de Terry Surugi.
Seul en fait les deuxième et troisième quart d'heures sont sujet à rouspetance, pour peu qu'on soit mal disposé: assez insignifiant, ils ne valent que pour la légèreté de Lily Li Li Li (ses parents avaient le sens de l'humour!) et un ton qui ne se prend pas au sérieux. La fin, très brève comme je l'ai dis est logique si l'on considère le reste du film (je me demandais carrément ce qui se passait: un héro à la solde des mandchous?! dans un film de la Shaw?! Incroyable!) mais est malgré tout quelque peu frustrante. Mais au total, ces menus défaults n'arrivent pas à pervertir le niveau et le rythme de ce très bon Liu Chia Liang.
Sympathique
Malgré quelques longueurs, on ne peut que respecter le travail effectué par Liu Chia Liang. Surtout quand celui çi reussit à rendre crédible le Kung fu - plus que douteux - de David Chiang.
On pourrait reprocher à "La Mante Religieuse" son manque de fluidité dans la narration(changement de ton radical surtout à la fin) et une arrivée tardive des séquences de combats(qui sont d' ailleurs très belles et variées). Le fameux style de la Mante religieuse (efficace et drôle) se fait longtemps attendre. A part ça, le film reste quand même agréable à regarder.
C'est vraiment un très bon film
Un film inégal
Un bon film d'arts martiaux du maître Liu Chia Liang qui comporte toutefois de nombreux défauts : le début de l'histoire, assez long, une ellipse surprenante (on saute 3 mois en 2 plans) et une 2 ème partie plus passionnante qui souffre d'une fin certes inattendue, mais quand même mauvaise. Mais ces défauts ne sont rien face au plaisir de voir David Chiang copier les mouvements d'une vraie Mante Religieuse, en position de combat et armé d'un bâton s'il vous plaît. La série de combats finaux sont très corrects et typiques du maître (chorégraphies rendues lisibles par des plans longs et larges, avec peu de découpages). Un film correct donc, mais qui aurait pu être bien meilleur. Mention spéciale pour Lili Li qui, même si elle en fait beaucoup, est adorable en fille désinvolte et attachante en femme désespérée.
Tous les films d'arts martiaux se ressemble comme deux gouttes de thé à la menthe religieuse ?
Peu de reproches pour ce
Praying Mantis qui, avec son quart de siècle au compteur, reste un très bon film d'arts martiaux.
Ce qui nous amène ici en premier lieu, ce sont les combats, ils sont nombreux, plutôt fluides, très bien chorégraphiés et filmés (plans larges et peu de montage, une habitude chez Liu Chia Liang).
La technique de la mante religieuse est divinement esthétique et David Chiang se débrouille bigrement bien.
L'histoire, un mélange plutôt agréable d'espionnage, de love-story, d'humour et de vengence, reste un prétexte à une suite de confrontations psychologiques ou physiques.
Pour une fois Gordon Liu n'est qu'un caméo (assez vite démonté par David Chiang part ailleurs).
Le passage, où le Feng (David Chiang) découvre le moyen de vaincre ses ennemis (qui n'en sont finalement pas vraiment) et de se venger après sa fuite miraculeuse, est d'anthologie.
Pour le reste, c'est de la shaw brothers production (décors, costumes, figurants de très bonne facture)
Un Kung-fu des familles très agréable, tendance vieille école.
Film qui sort des sentiers battus,avec de bons combats mais d'une grande irregularité.
Les acteurs sont assez décevants meme si le casting est excellent,la moitié des combats est tres ennuyeuse,la seconde est bien meilleure.Mais j'ai trouvé le film trop lent dans l'action alors que le scenario est largement au dessus de la moyenne des films du genre.
De trés beaux combats
Voici une oeuvre de la grande période de Liu Chia Liang.Le film est clairement coupé en deux parties (apprentissage/combats) mais cela ne géne en rien le rythme global. Les chorégraphies sont exemplaires ,un trés bon film d'arts martiaux.
tres bon film ..je remonte la note car la 1er fois je l'ai vu ce film c'était en K7 et VF.. maintenant je viens de le voir en celestial..
la mante religieuse est un tres bon film avec un bon scenario (pour une fois)ou il n'y a pas d'histoire de vengeance habituel (Y dois tuer Z car Z a tué la belle mere de Y) ou dans ce style la . Ici David Chiang (Wai Fung) reçois l'ordre de l'empereur de s'integré parmis le clan Tien pour voir si il y a pas un plan de rébellion qui se prépare ,il s'integre en tant que professeur de lettre (pas de kung fu) de la petite fille du chef Tien(Lau Kar Wing) , mais ce dernier est sur ces gardes et soupconne Wai Fung d'etre un espion de l'empereur . Je vais pas raconter toute l'histoire mais vous dire simplement que le passage ou David Chiang apprend le style de la mante religieuse est grandiose.il regarde et copie les mouvements de véritables mantes religieuse ou l'on vois la bebete qui effectivement est en position pour cette technique de combat,excellent passage du film qui est un petit régal, malgré un debut un peu long. Mais la tension monte au fur a mesure pour aboutir sur un tres bon final entre David Chiang et Lau Kar Wing.
17 décembre 2001
par
jeff