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Sparrow

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les avis de Cinemasie

5 critiques: 3/5

vos avis

34 critiques: 3.1/5

visiteurnote
Nemesis8sin 4.75
hendy 4.75
sanosuke 4.5
jep 4.25
Illitch Dillinger 4
Nedrusan 4
omnio 3.75
Omerieux 3.75
dll_povtyp 3.75
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Tred 3.25
paparakos 3.25
chronofixer 3.25
tu0r 3.25
ce3k 3.25
steed 3
A-Lai 3
Hotsu 3
Pikul 3
geez 3
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katsuben 2.5
Fred30 2.5
jeff_strike 2.5
Black_pantha 2.5
Inoran 2.25
Epikt 2.25
Firimar 2.25
Scalp 2.25
Bastian Meiresonne 2.25
pikoti 2
Chang La Rage 1.75


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Bonne enfant

Très bon film que ce  Sparrow qui change des ses dernières production. Pour moi c'est un véritable coup coeur l'ambiance sonore et très bonne, avec passage comique bien dosé.  Quand au final, ce duel de pick pocket sous la pluie avec les parapluies était original. A propos du casting ont retrouve des acteurs présents dans la plupart des films du réalisateur, avec Simon Yan vraiment crédible dans le rôle du chef de cette charmante bande de Pick pocket.

En bref un Johnnie To sans un seul gun fight ça faisait longtemps que ça n'était pas arrivé.   


22 juillet 2008
par sanosuke


Ce film se regarde avec plaisir, TO a réussi à retranscrire cette atmosphère de légéreté, aidé notamment par les deux français déjà responsables de la bande son de THE MAD DETECTIVE.
Le film est certes anecdotique, tant au niveau du scénario que dans la carrière de Jonnie TO, mais je ne regrette pas une seconde de l'avoir vu. 
SI vous avez détesté Yesterday Once More, passez tout de même votre chemin.

19 juin 2008
par chronofixer


Techniquement très bon mais j'ai eu du mal à m'accrocher à l'histoire.

20 avril 2009
par A-Lai


Un Johnnie To très bancal, scénario trop léger et inexistant. Visuellement excellent.

Johnnie To est très fort. Parce qu'avec Sparrow, le scénar tient sur un post-it mais pourrait même tenir tout juste 10 minutes. Et pourtant je ne me suis pas ennuyé devant ce superbe ballet urbain, léger, parfois drôle (jamais à l'excès effectivement (quoique la scène de l'ascenceur est quasiment jubilatoire !), mais le sourire collé aux lèvres du début à la fin, c'est quand même génial aussi.) et toujours virtuose. Le scénario est certes pourtant un peu difficile à cerner (faut-il y voir la longue mise en chantier de ce film ? Il a en effet été tourné sur plusieurs années comme PTU) et les personnages sont largement moins développés que dans... PTU, justement. Mais que voulez-vous, Sparrow est un magnifique pur moment de cinéma et une ode à la ville de Hong Kong que je n'ai presque jamais vu aussi belle. Et encore une fois une excellente partition omniprésente du français Xavier Jamaux, déjà compositeur sur Mad Detective. 4/5


Edit 9 août 2009: Et ben, ouais... mais nan, c'est pas trop ça là! Techniquement superbe (nombres de plans sur HK sont magnifiques, la photographie excellente...) le film pêche quand même par son scénario très très mince et certaines scènes que j'avais trouvé excellents à la première vision m'ont parus tellement nases à la seconde.... Je trouve qu'il s'agit surtout d'un film assez ennuyeux, dommage. 2/5

10 mars 2009
par Hotsu


rigolo

Rigolo et ludique, ça se regarde sans déplaisir.
Ca s'oublie vite aussi, car à peine 24h après j'ai déjà du mal à m'en rappeler. Ah si ! qu'ils auraient pu un peu plus se fouler sur le scénario, dans le genre prétexte à la con on fait pas mieux. Ah si ! (again, je viens d'y repenser deux heures après), une scène de 10 minutes intégralement composée de plans au ralenti sous la pluie, c'est laid (en plus d'être ridicule et de faire penser à un film coréen).

16 juin 2008
par Epikt


Déçevant


Je suis définitivement pas fan des comédies de Johnnie To, apres un Yesterday once more assez mauvais, ce Sparrow déçoit quelques peu.
Le cru To 2008 fait pale figure comparé au 2007 ( D'un coté un sympa Triangle, un Mad Detective plutot bon et un Sparrow plus que moyen, de l'autre on a Exiled, chef d'oeuvre quoi et les 2 Elections ).
Sur la forme c'est toujours aussi esthetique avec une gestion de l'espace qui est sa marque de fabrique ( la séquence de l'ascenceur est vraiment réussi ), la bande son qui mélange plusieurs style est une veritable tuerie, la sequence au ralenti dans la voiture c'est beau, la photo tue, mais malheureusement une fois de plus il délaisse le fond, pendant 40 minutes c'est une succession de scenette dont on se demande bien l'interet, ça raconte rien, ensuite y a une vague intrigue avec une clé à volé puis un passeport mais c'est vraiment ultra light ( encore plus que dans Exiled, mais au moins dans Exiled y avait des persos interressant ) et les personnages sont traité à la va vite, Simon Yam ayant le meilleur sort, ces collegues bein c'est juste ces collegues, la femme mystere passe son temps à courrir.
Heureusement ça dure 1h25, donc ça reste supportable mais pour ce que ça raconte ça dure 20 minutes de trop.
Comme toujours chez To le climax tue, mais ici un peu moins, le duel de parapluie est tres esthetique mais pas super comprehensible.
Dans le genre duel de pickpocket A World without Thieves  est carrement plus réussi.
Et dans le genre comedie c'est rarement drole ( on sourit 2 fois dans tout le film ).
Film déçevant pour un tel réalisateur.

08 novembre 2008
par Scalp


Chemin de croix

"Sparrow" était en fait une réalisation continue ces trois dernières années; un projet tourné au jour du jour en fonction de l'envie et de l'inspiration de Johnnie To et de la disponibilité de ses principaux comédiens. Un film, qui aurait pu se relever passionnant en vue de la récente mutation dans l'œuvre du célèbre réalisateur HK, mais qui ne comporte finalement que des esquisses de ses récentes obsessions. On retrouve donc une nouvelle fois une bande d'amis, qui vont partir à la recherche d'un mystérieux trésor (après ceux de "Triangle" et de "Exiled"); mais le véritable personnage principal est la ville de Hong Kong, que To a tenté de filmer dans sa forme la plus ancienne que possible. Ville en profonde mutation, il tente de capter l'esprit et de filmer les derniers recoins un tantinet plus anciens avant leur prochaine disparition au profit d'immeubles nouveaux. On en est très loin des bouffées nostalgiques de Zhang Yang avec "Sunflower"; mais il reste tout de même quelques rares coins tout aussi uniques que les anciens bâtiments sur l'île de Macao dans "Exiled".
Grande nouveauté, la relative liberté prise sur ce projet permet également à To d'alléger réalisation et traitement des personnages; on découvre dans un Simon Yam léger comme le vent, qui se déplace d'un pas dansant à la "Fred Astaire" en début du film avant d'être filmé comme un jeune Jean-Paul Belmondo de la nouvelle vague Française dans une séquence de voiture directement empreinte de "A bout de souffle".
Une légèreté, qui se traduit malheureusement aussi dans son scénario. Pas grand-chose à se mettre sous la dent dans cette histoire de pickpockets s'écoulant comme un long fleuve tranquille avant de trouver une brusque fin dans un ultime affrontement – qui restera sans aucun doue dans les annales des plus belles scènes réalisées par To: un ballet de parapluies et de lames de rasoir dans un intimiste duel aux corps à corps. Même si l'histoire n'aurait certainement pas évoluée, même si To s'était empressé à filmer pendant trois ans encore, on sent quand même qu'il a été pressé par le directeur du festival de Berlin pour terminer son film dans les plus brefs délais.  
Un succès mineur dans sa filmographie, qui ajoute quand même des nouvelles cordes à son arc, que le réalisateur saura très certainement exploiter dans ses prochaines productions.  


13 février 2008
par Bastian Meiresonne


Quand Johnnie To a autant envie de se faire plaisir que Wong Kar Wai...

... et que comme ce dernier il oublie de faire plaisir au public, ça donne "the sparrow", un clip sans substance, techniquement réussi mais c'est bien là la seule qualité que j'ai pu trouver au film, qui malgré sa pauvre heure vingt paraît en durer trois... Que la structure narrative soit sans réelle profondeur ne serait pas si irritant si l'ensemble se permettait au moins d'être divertissant.

Ce n'est malheureusement pas le cas, à part lors d'une salvatrice scène sous la pluie à la chorégraphie des plus inventives qui évite au film de n'être qu'un pauvre clip d'une heure vingt comme on en voit tellement de nos jours, sans pour autant lui permettre de s'élever au niveau d'oeuvres bien plus intéressantes du sieur To. Bien sûr, tout cela reste subjectif.

Certains ont trouvé que "The Dark Knight" était un film malhonnête, dont le rythme enlevé n'était qu'une entourloupe destinée à masquer les "nombreuses "incohérences du scénario. Ces personnes devraient parfaitement trouver leur bonheur à la vision de "the sparrow": comme il ne s'y passe rien, elles auront tout le temps d'analyser le vide du scénario et l'inconsistance de scènes à la plastique irréprochable mais à l'intérêt des plus indiscernables.

Dire de ce film qu'il est vide serait faux: chacun y trouvera ce qu'il veut. Dire qu'il est ennuyeux reste personnel... mais c'est aussi le mot qui me vient immédiatement à l'esprit à l'évocation de "the sparrow".

31 octobre 2008
par Chang La Rage


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