Final de Ouf ! 
Malgré ces merveilleuses critiques je m'attendais à qqchoses de sympatique, tous les ingredients etaient réunis : Tournage de polar HK à l'etranger (dans la tradition des China white, darkside of chinatown...) c.a.d on s'attend a de la grosse exploitation, des gros poncifs sur la mafia italienne, galerie de gweilos improbables, de l'action bien gore et qqs scenes erotiques qui seraient passés cat.III si tournées à HK (l'alibi exotique ) etc etc...Heureusement Kirk Wong est a la camera, et ca sauve les meubles, donc on a le droit à de la bonne fusillade urbaine qui prefigure deja OCTB, tournage à l'arrache dans le metro camera a l'épaule et tout et tout, bon, l'histoire d'undercover est ultra banale (et apres..?!) mais ca se laisse regarder (Carrie Ng) et bien sur le final furieux vient facilement reveiller les plus blasés. Finalement on n'obtient quelquechose d'assez glaucque et pas mal poisseux, n'est ce pas l'effet escompté avec ce genre de productions ?
Malgré les mauvaises critiques, j'ai cherché ce film un bon moment en espérant tout de même y trouver mon compte, Kirk WONG oblige.
Malheureusement je dois avouer que "Che" Kirk WONG m'a bien déçu. Le film n'arrive pas du tout au niveau de sa terrible trilogie et du très brut THE CLUB. Pourtant New York correspond très bien au style de Kirk, mais le réalisateur n'est pas vraiment aidé au niveau des chorés, de la photo et du montage. Reste une bonne utilisation de la caméra portée, mais globalement c'est une déception certaine.
Dommage il y avait surement moyen de faire un film intéressant.
Un film plutôt décevant ! 
Kirk Wong réalise une histoirede flics infiltrés vqui aurait pu s'avérer être un chef d'oeuvre du genre. Malheureusement il n'en est rien et on s'ennuie assez. Les scènes d'actions sont peu nombreuses mais très réalistes comme d'habitude avec Wong.Bref à voir si vous adorez ce réalisateur mais le scénrio est faible et plutôt mal traité.
Little Trouble in Big Apple
1992. La rétrocession se précise. Quelques artistes et hommes d'affaires hongkongais commencent à avoir chaud aux fesses. La même année, Tsui Hark et Kirk Wong décident de faire leurs premiers pas à l'étranger pour "tâter" l'ambiance. Histoire de rentabiliser leur voyage, ils tournent tous deux des productions largement mineures dans leurs filmographies respectives: "The Master" pour l'un et ce "Taking Manhattan" pour l'autre. Pas très ambitieux dans leur démarche, impossible de croire en un essai de "conquête" du box office mondial; en revanche, la collaboration avec des acteurs et des techniciens sur place prouvent leur curiosité à se familiariser avec des équipes étrangères.
Pas que Kirk Wong ne dispose de grands moyens fournis par des grands studios. Ses acteurs semblent avoir été recrutés dans les rues et l'urgence (et les extérieurs désaffectés pour des scènes plus "ambitieuses") dans laquelle ont été tournées la plupart des scènes témoignent de l'étroitesse du budget.
Wong semble d'ailleurs très peu à l'aise à ses débuts. Le film met un temps fou à se mettre en place et toute scène d'action est désamorcée. La mise en scène est torchée: entre longs plans fixes sur du dialogue totalement inutile entre personnages et caméra à l'épaule dès qu'il y ait un brin d'action (ou du sexe).
Wong n'est également pas épargné par un problème récurent dans les films réalisés à l'étranger par des réalisateurs asiatiques: mettre en scène des choses très approximatives. Tels les américains ne pouvant s'empêcher d'insérer la Tour Eiffel et le français avec béret et baguettes sous le bras dans leurs rares excursions cinématographiques à Paris, les asiatiques ont souvent dû mal à représenter un train de vie "à l'occidentale" dans les quelques films tournés à l'étranger. "Taking Manhattan" abonde donc de situations et personnages clichéesques, du DJ noir, en passant par l'agent undercover jusqu'aux mafiosi italiens; sans parler qu'il semble vouloir reproduire du film d'action "à l'américaine", résultant malheureusement davantage dans du pompage de films de série Z, que de produits du haut du panier.
Reste une fin relativement nerveuse avec quelques plans d'une violence 100% gratuite – mais c'est là une bien maigre récompense par rapport à tout ce qui a précédé…Surtout venant d'un Kirk Wong autrement plus inspiré et habile sur ses productions HK.
Horrible! Houlala, grosse migraine.
Génial la coupe du héros. C'est bien le genre "21 Jump Street"... mais en plus moche. Et quel héros! Un boulet oui! Un type vulgaire, sans morale, dénué de tout charisme (j'ai connu des films de flics ambigu mais qui n'étaient pas aussi bidons, genre "Harry Callahan", Clint Eastwood, quel acteur!). Un film controversé, virulent, et surtout nul. Un polar urbain ultra violent, le héros couine, gueule sans pour antant être convaincant.
Et surtout "la scène de sexe" du film, avec un couple tout moche, d'une laideur rare, bien trop longue! Chiante comme pas permis, surtout pour les non-consentants. Au secours!!!
