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Vietnamese Lady
les avis de Cinemasie
1 critiques: 2.25/5
vos avis
1 critiques: 1/5
Cat III tranquille.
Avec une action qui se situe dans le Viêt Nam d'après guerre, Vietnamese Lady est un CAT III somme toute classique, mais plutôt orienté comédie romantique que polar ou film d'action.
Rien de bien original, mais le personnage de Shun, joué par Gwok Yee-Lee, est très attachant. (Peut être aussi grace à sa plastique plutôt intéressante, ce n'est pas Junta qui me contredira). Du coup on se laisse prendre à l'histoire.On aurait pu croire que le personnage de Kiu force un peu sa belle à l'aimer, mais il n'en est rien. Il restera gentleman jusqu'au bout.
Les scènes "d'action", non pas celles que vous croyez, sont assez nombreuses, avec une musique bien kitsch en fond sonore. Ici, il n'y a pas la classique scène de douche, mais un petit tour en bord de mer très agréable. Vous trouverez aussi la version salle de sport ou salle de photo. J'ai trouvé très drôle quand Shun fait pour la première fois l'amour avec Kit sur la musique de la chanson "Le Premier Pas" de Claude-Michel Schönberg.
Donc même si il n'est pas transcendant, Vietnamese Lady est un film à découvrir même si ce n'est que pour la belle Gwok Yee-Lee..
Whore from Vietnam
Un film de plus sur les mésaventures d'une vietnamienne qui découvre le grand monde, celui du capitalisme en rêvant d'un way of life à la hongkongaise. Une espèce de Cendrillon des temps moderne très bateau où la réussite sociale, on l'obtient en gros comme on peut et presque ! Comme on veut. Mais là, c'est un autre débat.
Durant une heure nous avons droit à un peu de sexe et des corps dénudés, très peu, pas tant que cela en faite et c'est bien dommage parce que Gwok Yee-Lee Chow donne à voir. On regrette presque qu'elle n'est pas fait une carrière plus importante (1 seul film d'après les HKCM et autre HKMDB). Et puis vient la dernière demi heure qui nous réveille, pas que l'on se soit endormi mais on assiste aux aventures de la p'tite coquine sans plus d'implication bien que l'on rigole de temps à autre. Rigoler est peut-être un grand mot (verbe) pour le coup. On sourit. C'est déjà ça. La tournure que prend la dernière partie est pas trop mal et rattrape finalement un film qu'on aurait jeter sans remord dans les dédales de l'oubli. Bon point donc. Et puis on y croise furtivement le denommé Ka Ka, le réalisateur en personne donnant de sa personne pour le 7ème art.