Raque, raccole, raccoleur
Suite sans aucun lien avec le précédent premier épisode, si ce n'est que le titre et la thématique des jeunes, sujets tabous, sexe, drogue et rock'n'roll.
Le premier avait plus ou moins réussi à briser quantité de tabous et n'avait même pas été mauvais dans son portrait, la première heure, de la jeunesse indonésienne de l'époque.
Cette suite a été clairement pensée pour toujours repousser els limites et tenter de faire un max de blé sur la seule expectative d'en donner aux jeunes pour leur argent.
Rien ne nous sera donc épargné: viol, sexe, grossesse d'une mineure hors mariage, avortement, addiction, alcool, prostitution et j'en passe et j'en oublie. C'est comme si Jakarta n'était qu'une seule ville de débauche, mais heureusement les producteurs veillent à infuser un semblant de grossière morale en fin de film. "Trop, c'est trop", surtout quand le propos n'est que gros racolage pour une exploitation mercantile opportuniste; très peu pour moi (même si le film est réalisé par mon chouchou totalement médiocre à la réalisation Chiska Doppert, alias Nayato aka Nayato Fio Nuala aka Ian Jacobs, Koya Pagayo, Ciska Doppert, Pingkan Utari…).